Alexandre, Marco, Sophie et les autres se connaissent depuis l’enfance. Ensemble ils sont nés, ensemble ils ont grandi, en toute insouciance. Mais lorsque la vie les prend au sortir de l’adolescence, la chute est brutale. En une décennie, cette jeunesse perdue mais pas désillusionnée va devoir apprendre à se battre pour exister. À travers les drames subsistent alors l’amitié, les fous-rires et les joies. Et l’amour, qui les sauvera.
Bye bye les livres de la rentrée littéraire !
J’avais un grand besoin de faire une pause. C’est mon amie blogueuse, Un bouquin dans la tasse, qui a choisi ma lecture.
Non seulement ce n’est pas un livre de la rentrée et j’ai aussi posé ma liseuse car je l’avais en format poche. Ah vous avez eu peur que j’ai choisi de boire du cidre à la place du mojito ! Jamais de la vie, je vous rassure.
Donc me voilà partie à la rencontre de la plume de Julie de Lestrange et à la rencontre de sa bande copains : Alexandre, Marco, Sophie, Anouk, Marie, Guillaume et j’en passe.
Non non, ce n’est pas du genre « La famille formidable » car si tel était le cas, j’aurai envoyé le livre valsé car je ne supporte plus le personnage du père ;-).
Mais j’étais plus dans l’optique « mes amis, mes emmerdes. » Le début commence avec Alexandre, qui adore sa grand-mère, a choisi de vivre avec son père lors du divorce, a comme pote Marco (d’ailleurs j’aurai aimé avoir un ami comme Marco). Il a un atout : un chalet. En fait, sa grand-mère possède un chalet et ils aiment s’y retrouver : le chalet de l’amitié. C’est un peu la zone franche, où on oublie tout ces soucis, on se lève à l’heure que l’on veut, on vit ce que l’on veut.
Je vous rassure le livre ne parle pas que d’Alexandre mais aussi de tous ses amis. Chacun y passe et l’auteure arrive parfaitement tout enchaîner sans aucun accro.
C’est un peu comme si on regardait un album photo et on se remémore les souvenirs de chacun au coin de feu avec un bon thé et des sablés de Noël (oui oui Noël arrive bientôt !).
Ce livre est une photo à lui tout seul de cette génération X, un peu perdue, alors que tout est à portée de mains. On ne peut que s’identifier à un des personnages ou être triste de ne pas avoir vécue cela. Oui je n’ai pas eu cette bande d’amis. Mais c’est pas grave je vous rassure, je le vis très bien. Mais grâce à Julie de Lestrange pendant 378 pages, j’ai fait partie de la bande. Je vous en remercie.
La suite vient de sortir en grand format : Danser encore aux éditions Mazarine .
Hier encore, c’était l’été de Julie de Lestrange – Le livre de poche – 7.90€ – 377 pages