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[Dossier] Gerard Butler : ses 10 meilleurs films

Par Onrembobine @OnRembobinefr

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Avec le temps, après s’être un peu cherché à ses débuts, Gerard Butler a finalement réussi à s’imposer comme l’un des action men des années 2010. Un acteur toujours partant pour botter les fesses aux méchants dans des productions plus ou moins improbables ou pour, comme dans Geostorm, son dernier film en date, résoudre la question du réchauffement climatique à lui tout seul. Et c’est justement à l’occasion de la sortie du film catastrophe hyper bancal de Dean Devlin que nous avons eu envie de faire un petit point sur les sommets de la filmographie de l’acteur écossais…

La Chute de la Maison Blanche (Antoine Fuqua, 2013)

Le Die Hard de Gerard Butler, qui campe ici le garde du corps préféré du Président des États-Unis. Un mec un peu rincé, tricard à mort, qui reprend du service quand des terroristes s’en prennent directement à la Maison Blanche. Sorti au même moment que le White House Down, de Roland Emmerich, La Chute de la Maison Blanche a su tirer son épingle du jeu grâce à son jusqu’au-boutisme, à son indifférence face au ridicule et à son Gerard Butler déchaîné, parfait en sauveur de tout un peuple.

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La Chute de Londres (Babak Najafi, 2016)

La suite de La Chute de la Maison Blanche. Un film d’action complètement aux fraises d’un point de vue scénaristique, qui pousse tous les compteurs dans le rouge comme si nous étions encore dans les années 90. Tous les clichés sont là mais Gerard sauve la mise, de concert avec un réalisateur assez ambitieux, qui nous gratifie notamment d’un ultime plan-séquence assez furieux, symptomatique d’une démarche généreuse et foutraque.

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Chasing Maverick (Michael Apted, Curtis Hanson, 2012)

Un bon film de surf, émouvant, sincère et parfaitement incarné. Sur sa planche, Gerard sait faire preuve de nuance et prouve qu’il n’est pas que ce gros bourrin capable à lui tout seul d’arrêter tout un commando de bad guys.

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300 (Zack Snyder, 2007)

Film culte pour les uns, carnaval numérique ridicule pour les autres, 300 reste important car il a su marquer les esprits et parce qu’il semble être parfaitement inconscient de ses propres limites. Assez jouissif, brutal, il a pris un méchant coup de vieux mais reste recommandable de part sa capacité à noyer l’Histoire dans un flot de testostérone, tout en s’appropriant quelques clichés l’air de rien. Barbu et taillé à la serpe, Gerard y est magnifique.

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Gods of Egypt (Alex Proyas, 2016)

Totalement incompris, Gods of Egypt est clairement un foutoir incroyable. Une ratatouille numérique jubilatoire où des dieux se mettent joyeusement sur le coin de la tronche. L’expression radicale d’un cinéaste en roue libre, bien aidé par un casting dominé par un Gerard Butler lui aussi complètement hors limites.

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Prisonniers du Temps (Richard Donner, 2002)

Gerard Butler et ses amis remontent le temps pour aller botter le cul à des chevaliers, en France, au Moyen-Age. Le tout sous la direction de Richard « L’Arme Fatale » Donner. Pas original pour deux sous mais généreux, Prisonniers du Temps (qui est l’adaptation d’un roman de Michael Crichton) ne se démonte jamais et va au bout du truc, malgré des clichés gros comme des châteaux forts.

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Que Justice soit faite (F. Gary Gray, 2009)

Un vigilante movie assez limite d’un point de vue moral, qui prône clairement, comme tout vigilante movie américain qui se respecte, l’auto-justice, tout en essayant de faire souffler un vent de nouveauté sur le genre. Parfois à la limite du torture porn à la Saw, sans concession et aussi un peu crétin, Que Justice soit faite parvient néanmoins à se montrer divertissant tout du long.

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P.S. I Love You (Richard LaGravenese, 2008)

De la bonne grosse guimauve qui, en son temps, remporta un franc succès en salle. L’occasion de voir que Gerard peut aussi passer plus de 2 heures sans tabasser personne.

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Le Règne du Feu (Rob Bowman, 2001)

Gerard, encore un peu vert, évolue ici dans l’ombre de Christian Bale et de Matthew McConaughey. Mais vu que le film est quand même cool, avec ses beaux dragons, on se devait de le faire figurer dans cette liste.

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RocknRolla (Guy Ritchie, 2008)

Largement moins bon que Snatch ou Arnaques, Crimes et Botaniques, RocknRolla est néanmoins meilleur que le catastrophique Revolver. Et vu qu’il fallait bien trouver 10 films…

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@ Gilles Rolland


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