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The Mortal Instruments tome 1 : La Cité des Ténèbres, Cassandra Clare

Par Maliae

The Mortal Instruments tome 1 : La Cité des Ténèbres, Cassandra ClareRésumé : Clary n’en croit pas ses yeux. Elle vient de voir le plus beau garçon de la soirée commettre un meurtre. Et détail terrifiant: le corps de la victime a disparu d’un seul coup! Mais le pire reste à venir. Sa mère a été kidnappée par d’étranges créatures et l’appartement complètement dévasté. Sans le savoir, Clary a pénétré dans une guerre invisible entre d’antiques forces démoniaques et la société secrète des chasseurs d’ombres. Une guerre dans laquelle elle a un rôle fatal à jouer.

Avis : J’ai bien aimé ce livre, je l’ai dévoré mais il n’est pas sans défaut, alors je vais d’abord les énumérer, et ensuite je dirai ce que j’ai aimé. Premier point, et le plus énervant, c’est sexiste, qu’on se le dise. Les filles de ce bouquin ne sont réduites qu’à leur beauté (leur intelligence, leur caractère, tout le monde s’en tape), le seul but de la vie de Clary c’est d’être jolie mais pas de bol elle se trouve moche (alors que tout le monde autour d’elle la trouve super belle, évidemment). C’est hyper agaçant, et ça m’a grave gonflé, j’ai levé les yeux au ciel cent cinquante fois à cause de ça, et en plus c’était redondant, bref, chiant.
Deuxième point : CE put* de triangle amoureux. Ais-je besoin de dire pourquoi ? Franchement ?
Troisième point : 99% des personnages m’ont saoulé. En fait le seul que j’ai réellement apprécié pour le peu qu’on le voit, c’est Magnus. Les autres sont souvent têtes à claque. Bon j’avoue, j’ai bien aimé Simon, il est mignon. J’ai aussi quand même bien aimé Clary, mais elle m’a souvent agacé, mais y a pire comme héroïne. Jace m’a tapé sur le système, Alec encore plus. Et Isabelle ? Je pouvais pas la sentir.
Quatrième point : rapport à la beauté des personnages, c’est cliché, et certains descriptions sont un peu débiles.

Mais à côté de ça, ce livre se lit super bien, j’étais à fond dedans et c’était un vrai page turner, je n’ai pas du tout vu le temps passé, et comme j’avais un bloquage de lecture ces temps-ci, j’ai eu l’impression que ça m’avait un peu débloqué, ce qui fait du bien. Il y a beaucoup d’action dans ce livre, ce qui fait qu’on ne s’ennuie pas, et si les révélations ne m’ont pas vraiment surprises (parce qu’on les voit venir quand même un peu) je les ai trouvé sympa et un brin osé, surtout pour un petit détail. J’ai très envie de lire la suite, même si je n’ai pas le livre sur moi. Je ne regrette pas ma lecture malgré les bémols que j’ai soulevé, et j’ai passé un bon moment.

Le détail qui tue : je trouve la couverture de ce livre absolument hideuse.

Phrase post-itée : 
« Que Dieu existe ou pas, à mon avis, ça n’a pas d’importance. Dans l’un ou l’autre cas, nous sommes seuls. »

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