2018 est bien entamée mais je jette d’abord un dernier regard sur mes lectures de 2017.
Je n’ai lu que 75 livres cette année, ce n’est pas terrible…
Les pays visités : 9 d’Angleterre, 1 d’Argentine, 1 d’Australie, 1 d’Autriche, 18 de Belgique, 5 des Etats-Unis, 22 de France, 1 de France/Russie, 1 de Hongrie (mais écrit en français), 1 d’Italie, 2 de Norvège, 11 du Québec et 1 de Su§de. C’est clair, la francophonie l’emporte, mon petit pays est sur la deuxième marche du podium France-Belgique-Angleterre. Et pourtant j’aimerais élargir mes autres lectures européennes et celles d’autres continents…
39 livres étaient écrits par une femme, 34 par un homme et 2 par un couple mixte.
Côté genres, j’ai lu 10 BD, 2 livres-CD, 7 ouvrages de non-fiction, 3 recueils de nouvelles, 7 polars, 2 récits, 38 romans et 6 romans-jeunesse.
C’est bien joli tous ces chiffres mais lesquels étaient mes préférés, me direz-vous ??
Côté belge, je retiens :
Outre-Mère, de Dominique Costermans (2017)
Nous voulons tous le paradis, d’Els Beerten
J’ai beaucoup aimé aussi Le Conseiller du roi, d’Armel Job, L’année dernière à Saint-Idesbald, des nouvelles de Jean Jauniaux et En toute impunité de Jacqueline Harpman.
Dans les romans francophones, je garde précieusement en mémoire :
Sous le ciel qui brûle, de Hoai Huong Nguyen (2017)
La nuit tombée, d’Antoine Choplin
La petite et le vieux, de Marie-Renée Lavoie
Les forêts de Ravel, de Michel Bernard
et la claque d’origine hongroise mais écrite en français :
Le grand cahier, d’Agota Kristof
J’ai beaucoup aimé aussi Chercher Sam, de Sophie Bienvenu et le tome 2 de Roslend, de Nathalie Somers.
Parmi les anglophones, je retiendrai :
Les Dieux du tango, de Caroline De Robertis
Ce que l’on entend quand on écoute chanter les rivières, de Barney Morris
Nature morte, de Louise Penny
En BD, même si j’en ai lu assez peu, je ne peux oublier :
Les chemins de Compostelle (tome 1)de Jean-Claude Servais
Voyage aux îles de la Désolation, d’Emmanuel Lepage
A propos de Compostelle, j’ai vraiment apprécié Immortelle randonnée – Compostelle malgré moi, de Jean-Christophe Rufin.
Et en 2018 ?
Pour diversifier mes lectures, le challenge Voisins voisines, qui a été repris par A propos de livres, va bien m’aider. Je m’y suis inscrite fin 2017 pour l’encourager un peu car il n’y a plus beaucoup de participants, c’est peut-être sa dernière année. Ce ne sera pas difficile de lire européen. Le challenge nordique de Margotte, qui continue jusqu’à la fin août, m’aidera aussi à élargir mes horizons de lecture. Lou vient de relancer les British Mysteries, ça m’aidera un peu à vider aussi ma PAL côté détectives britanniques.
J’ai un petit projet d’évasion et de lectures partagées en février, ça élargira aussi mes horizons. D’ailleurs, je serai sans doute un peu moins présente ici en janvier (du moins pour les chroniques de lectures) pour pouvoir préparer cette thématique.
Le Mois belge revient bien sûr en avril, préparez vos piles.
Je suivrai sûrement d’autres mois thématiques, comme ceux aux USA, au Québec ou en Angleterre, mais sans me mettre de pression…
Pour m’amuser, je me suis réinscrite aussi cette année au Petit Bac d’Enna, ce ne sera pas difficile de faire au moins une ligne en mélangeant les genres.
Enfin j’essayerai d’être attentive à l’anniversaire de deux maisons d’édition (et plus ? – si vous en connaissez, n’hésitez pas à me le signaler en commentaire) : la maison Mijade, spécialisée en jeunesse, fête ses 25 ans et je la mettrai à l’honneur en avril pendant le mois belge ; Actes Sud fête ses 40 ans aussi en 2018, j’essayerai de combiner certains projets avec cet anniversaire.
Voilà mes quelques projets… à mener sans prise de tête tout au long de cette année que je vous souhaite encore riche de rencontres littéraires et culturelles.
Edit : Quand j’écrivais ce billet, la mort de Paul Otchakovsky-Laurens, le fondateur de P.O.L. en 1983, a été annoncée.Cette maison aura donc 35 ans en 2018. Je dois avoir un ou deux titres de P.O.L. dans ma PAL, je pourrais essayer de les en sortir…
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