Et c'est à contre courant, puisque nous n'étions pas au courant de ce constat électrique... qui court-circuite le bon sens et la connaissance historique.
L'homme a peur de la femme ?
Ça craint comme crainte. Mais ce n'est pas une raison d'en avoir honte. En tout état de cause, notre actualité semble l'attester un peu plus chaque jour. L'homme a peur d'être balancé depuis que l'on sait que rien n'est bon dans le cochon... un porc est un porc... est une belle revanche de la belle sur la bête, des plus faibles sur les plus forts.
Même ceux qui n'ont rien à se reprocher, n'ont plus la conscience tout à fait tranquille, non seulement pour ce qu'ils ont fait mais surtout pour ce qu'ils peuvent faire en sachant pertinemment qu'aucune bonne foi n'est à l'abri d'une mauvaise foi... d'une malveillance.
Il n'y a pas pire qu'une rumeur pour foutre en l'air la bonne humeur, et toutes les mélodies du bonheur !
Les mauvaises langues prétendent que la peur va changer de camp. Mais pour notre chercheur, c'est déjà le cas depuis fort longtemps.
L'homme a peur de sa mère qui connaît ses carences.
Le mari a peur de sa femme qui mesure son impuissance
Le père a peur de sa fille qui souffre de ses insuffisances.
C'est joli comme gag : l'homme voile la femme mais c'est la femme qui dévoile l'homme... en révélant ses limites ou ses travers.
Darmanin a peur et on a peur pour Darmanin surtout si on écoute Dupont-Lajoie qui est persuadé que le 21ème siècle serait féminin ou ne sera pas. Ce qui vient d'arriver à Alexia ne révèle pas que la femme est une éternelle victime, mais que l'homme est fondamentalement faible... et en l'assassinant, Daval a essayé de faire disparaître le témoin !