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Critique: Black Panther

Par Cinedingue @cinedingue

Critique: Black Panther

Réalisation Ryan Coogler

Scénario Ryan Coogler
Joe Robert Cole

Acteurs principaux

Chadwick Boseman
Michael B. Jordan
Forest Whitaker
Lupita Nyong’o

Sociétés de production Marvel Studios

Pays d’origine

Drapeau des États-Unis
 États-Unis

Genre Super-héros

Durée 134 minutes

Sortie 14 février 2018

Après les événements qui se sont déroulés dans Captain America : Civil War, T’Challa revient chez lui prendre sa place sur le trône du Wakanda, une nation africaine technologiquement très avancée. Mais lorsqu’un vieil ennemi resurgit, le courage de T’Challa est mis à rude épreuve, aussi bien en tant que souverain qu’en tant que Black Panther. Il se retrouve entraîné dans un conflit qui menace non seulement le destin du Wakanda, mais celui du monde entier…

Après « Fruitvale Station » et « Creed« , le jeune cinéaste Ryan Coogler fait à nouveau appel à Michael B. Jordan pour le dernier Marvel en date, peut-être le plus ambitieux. Quasiment intégralement interprété par des acteurs noirs (à l’exception de Martin Freeman et Andy Serkis), Black Panther nous montre un pays africain fictif, le Wakanda, qui évolue et prospère sans aucune intervention des pays occidentaux. Le choix devra être fait entre la philosophie du Black Panther (Chadwick Boseman, pas très charismatique) et celle des Black Panthers : promouvoir la paix et utiliser des ressources florissantes pour aider son prochain ou alors  armer les minorités pour lutter contre l’oppression.  Pourvu d’un casting trois étoiles (Forrest Whitaker, Angela Bassett, Michael B. Jordan, Lupita Nyong’o…), Black Panther met de côté l’humour parfois un peu lourdingue des Marvel pour une réflexion avouons-le légèrement naïve mais qui a le mérite d’exister sur le racisme et le bellicisme. On reconnaît la patte Disney dans ce récit qui semble être une adaptation live du Roi Lion et ses histoires de trône, Black Panther étant un cousin de Simba et Killmonger de Mufasa. N’oubliez pas les traditionnelles scènes post-génériques dont l’une qui se termine par ces mots: « Face à la crise, le sage construit des ponts, l’imbécile érige des barrières »! Trump si tu nous entends…

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