Magazine Cinéma

Critique: Moi, Tonya

Par Cinedingue @cinedingue

Critique: Moi, Tonya

Titre original I, Tonya

Réalisation Craig Gillespie

Scénario Steven Rogers

Acteurs principaux

Margot Robbie
Sebastian Stan
Allison Janney

Sociétés de production LuckyChap Entertainment
Clubhouse Pictures

Pays d’origine

Drapeau des États-Unis
 États-Unis

Genre biographie

Durée 121 minutes

Sortie 21 février 2018

En 1994, le milieu sportif est bouleversé en apprenant que Nancy Kerrigan, jeune patineuse artistique promise à un brillant avenir, est sauvagement attaquée. Plus choquant encore, la championne Tonya Harding et ses proches sont soupçonnés d’avoir planifié et mis à exécution l’agression…

Craig Gillespie nous parle de l’affaire qui vit la patineuse Nancy Kerrigan sauvagement agressée par des connaissances de sa concurrente Tonya Harding. Pour ce faire, il met en scène un faux documentaire où chaque protagoniste vient donner sa version des faits: la mère violente, le mari vénal et violent lui aussi, le copain mythomane et bien sûr la patineuse. Bénéficiant d’un montage un brin roublard mais néanmoins efficace, le film dresse avant tout un beau portrait de femme, réhabilitant la patineuse longtemps femme la plus haïe des Etats-Unis. Gillespie explique notamment l’affaire par la vie de la patineuse, battue dans son enfance par sa mère puis par son mari et mal considérée par les juges qui la pénalisaient à cause de l’image « beauf » qu’elle véhiculait. Magot Robbie est exceptionnelle dans le rôle de la patineuse et l’on découvre aussi Allison Janney, incroyable marâtre! Belle réussite!

4

Publicités &b; &b;

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Cinedingue 14834 partages Voir son profil
Voir son blog