[Dossier] Le sport au cinéma : 10 sports, 10 films cultes

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Le sport est au centre de quelques excellents films. Cela dit, certains sports sont plus enclins à donner de bons longs-métrages, contrairement à d’autres qui, de manière plus ou moins explicable, se retrouvent toujours au centre d’œuvres au mieux anecdotiques, au pire complètement foirées. On pense notamment au foot. Quelques-uns s’y sont essayés et si des films comme À nous la victoire, avec Sylvester Stallone et Pelé ou Joue-la comme Beckham sauvent la mise, force est de reconnaître qu’aucun n’arrive au niveau d’un Rocky ou d’un L’Enfer du Dimanche. Deux parfaits exemples pour rappeler qu’au fond, les meilleurs films de sport sont précisément ceux qui ne font pas du sport leur sujet principal. Ceux qui préfèrent exploiter les valeurs du sport en question pour venir nourrir un récit solide, et ce peu importe le registre…

Plutôt que de lister les meilleurs films « sportifs », nous avons préféré n’en sélectionner qu’un seul par sport. Celui qui se détache…

Boxe : Rocky (John G. Avildsen, 1976)

Le choix était large. Ainsi, on aurait pu opter pour Raging Bull, Nous avons gagné ce soir, Fighter, Le Champion, Ali, 25, etc…

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Football américain : L’Enfer du Dimanche (Oliver Stone, 1999)

Là encore, les films sur le foot U.S. ne manquent pas. Et si on en trouve de très sympa, aucun n’est aussi puissant et maîtrisé que L’Enfer du Dimanche.

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Catch : The Wrestler (Darren Aronofsky, 2008)

Très populaire, le catch a donné quelques bons films. Certains se détachent, comme Super Nacho, qui traite notamment de la lutte mexicaine. Mais The Wrestler est largement au-dessus du lot, c’est indéniable.

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Formule 1 : Rush (Ron Howard, 2013)

Très facile de déterminer lequel est le meilleur, Rush, mais aussi lequel est le pire, à savoir Drive, le surréaliste film de Renny Harlin, avec Sylvester Stallone (même si il est ici question de Champ Car et non de Formule 1).

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MMA : Warrior (Gavin O’Connor, 2011)

Dans un autre genre, Prof poids lourd était aussi très marrant. Mais Warrior, c’est tout de même autre chose. Le genre de film qu’on ne voit qu’une fois tous les 10 ans. De ceux qui mettent K.O..

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Base-ball : Jusqu’au bout du rêve (Phil Alden Robinson, 1989)

Culte aux États-Unis, beaucoup moins en France, Jusqu’au bout du rêve est un magnifique film qui se sert du base-ball comme d’une toile de fond, afin d’aborder d’autres thématiques très sensibles.

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Saut à ski : Eddie The Eagle (Dexter Fletcher, 2016)

Ok, dans le cas présent, Eddie The Eagle n’avait aucun concurrence. Mais ça ne lui enlève en rien son mérite. Après tout, si la catégorie est là, c’est parce qu’il fallait absolument le citer.

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Balle au prisonnier : Dodgeball (Rawson Marshall Thurber, 2004)

Là aussi, force est de reconnaître que les films sur la balle au prisonnier sont rares…

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Patinage artistique : Moi, Tonya (Craig Gillespie, 2018)

Le plus récent de la liste et l’un des meilleurs. Une incroyable histoire vraie portée par la fabuleuse Margot Robbie.

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Nascar : Ricky Bobby, roi du circuit (Adam McKay, 2006)

Un des meilleurs films avec Will Ferrell. Complètement délirant, il ne trouva pas vraiment son public en France (à l’instar de la majorité des films du comédien) et c’est bien dommage.

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@ Gilles Rolland