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Au service secret de sa majesté

Publié le 06 avril 2018 par Le Journal De Personne

Je ne vais pas nommer les acteurs du drame que je m'en vais aborder mais juste les désigner avec trois lettres de l'alphabet : X.Y.Z. pour que votre imagination puisse les identifier.

Question de droit : la Loi c'est la Loi... même si les faits sont réels, tant que je ne dispose pas de preuve matérielle, je ne peux prétendre qu'à un scénario imaginaire.

Il n'est pas interdit que je sache de mener l'enquête dans ma tête pour ne pas mourir bête.

Théoriquement, toutes les analyses sont permises... la raison se sent toute fière quand elle s'autorise une petite instruction policière.

Peut être parce que je vous sens à la dérive que je joue à la détective.

Je vous rassure : je ne vais pas m'inventer des indices, mais me contenter de détecter les vices cachés de toute mise en scène politico-judiciaire ou médiatico-financière.

L'enjeu étant toujours le même : le pouvoir de l'argent quand ce n'est pas l'argent du pouvoir.

C'est un véritable travail de réflexion et non un vulgaire jeu de pistes.

Pour attiser votre curiosité, j'ai choisi "l'attentat terroriste-islamiste", susceptible d'intéresser ou... d'intriguer un scénariste de métier.

Et même si le modus operandi est toujours le même dans ce genre de coup d'éclat, on peut être surpris si on met toutes les choses à plat.

L'acteur du drame, de l'attentat de celui qui va tirer dans le tas, comme ce fut le cas dans je ne sais quel supermarché, l'apprenti-djihadiste qui n'a rien de sorcier, on va le nommer X qui s'apprête à devenir le plus connu des inconnus, en donnant la mort avant de se donner la mort et finir en Martyre.

Mais, parce qu'il y a toujours un "mais" pour bien comprendre ce genre de forfait... mais, ce n'est pas à son bras armé qu'on va intenter un procès mais à celui qui a armé son bras, non l'acteur mais le véritable auteur du drame qu'on va nommer Y, qui ne s'est pas sali les mains, il a opéré à sec, en amont, en donnant son aval.

Comment on l'appelle déjà ? Le commanditaire de l'attentat, celui qui l'a financé ou influencé.

Ça y est ! L'affaire est classée. Il nous suffit de reformuler un verset du Coran pour mettre Dieu et son prophète en examen... Y a pas plus facile que d'incriminer "l'absent de tous les bouquets".

Depuis Jésus, on le sait, il ne se défend jamais.

La mauvaise nouvelle est toute brève : X est entré, il est entré... X a tiré, il a tiré... X a marqué, il a marqué... marqué les faibles d'esprit, eh oui ! Son forfait a été revendiqué...c'est Y qui l'a commandité... et le tour est joué.

Mais derrière cet écran de fumée, désolée de l'affirmer, il y a souvent presque toujours un instigateur, un premier moteur, non pas le créateur mais un fauteur de troubles qui est à l'origine de ce chaos, le rédacteur du scénario, qu'on appelle Z.

Z c'est le service secret qui a su et pu instrumentaliser X et Y pour parvenir à ses fins et réaliser ses ignobles desseins.

Comment il a fait ?

Il n'a rien fait  pour nous éviter le drame.

Il était au courant que X était candidat à la mort, avec l'intention de la donner. Il l'a laissé faire en sachant qu'il y a toujours un idiot utile pour le revendiquer, un Y qui cherche à récolter les lauriers... sans débourser le moindre centime et sans devoir la moindre prime.

Z laisse faire X et laisse dire Y sous couvert de secret d'état ou sous le couvercle d'un État adroit... Parfois avec le recours ou l'aimable concours d'un autre état que l'on peut nommer Z'.

On n'a pas besoin d'approfondir davantage notre investigation pour deviner le mobile de ce genre d'atrocités consenties par nos propres services.

J'en vois même deux, deux mobiles concomitants :

1- soumettre l'islam et les musulmans

2- tout se permettre au Proche et au Moyen Orient

En vertu du principe de précaution selon lequel : tous les coups sont permis contre les terroristes ... CQFD

C'est ce qu'il faut se dire, en tout cas, pour ne plus être surpris de découvrir toujours les mêmes pochettes surprises!

Sinon, Messieurs dames, à quoi serviraient nos services secrets ?

À nous servir ? Non ! Mais à se servir de nous, à l'insu de notre plein gré.


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