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[Dossier] Top 6 des pires films de Steven Spielberg (qui sont quand même bons)

Par Onrembobine @OnRembobinefr
[Dossier] Top 6 des pires films de Steven Spielberg (qui sont quand même bons)

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La semaine dernière, nous passions en revue les meilleurs films de Spielberg, à l’occasion de la sortie du fabuleux Ready Player One. Aujourd’hui, c’est au tour des films les moins réussis du maître d’avoir l’honneur d’un top. Des longs-métrages d’une manière ou d’une autre un peu décevants au vu du niveau auquel nous a habitué Spielberg. Aucun vrai navet bien sûr, car on parle de Spielberg, mais des œuvres un peu bancales, un peu tièdes ou légèrement anecdotiques parfois…

1 – Le BGG – Le Bon Gros Géant (2016)

Et si le BGG était le plus mauvais films de Steven Spielberg ? Toutes proportions gardées bien sûr. Jamais vraiment beau, jamais vraiment drôle, jamais vraiment épique, il passe aussi un peu à côté de son sujet et s’avère étrangement poussif. Alors oui, certes, on est loin du ratage intégral mais c’est tout de même ce que l’on appelle une déception.

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2 – Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne (2011)

Tintin est peut-être un chef-d’œuvre de mise en scène comme il fut écrit à l’époque de sa sortie en salle. C’est aussi un énorme défi technique. Mais c’est également une adaptation trop sage des écrits de Hergé. Trop sage et pas assez audacieuse.

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3 – Always (1989)

Un joli film. Oui, un bien joli film. Rien de mémorable pour autant, malgré les bonnes intentions.

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4 – Indiana Jones et Le Royaume du Crane de Cristal (2008)

Il y a de bonnes choses dans cet Indiana Jones étrangement bancal. Le personnage de Shia LaBeouf n’en fait pas partie. Mais il y a assurément de bonnes choses. Cela dit, on est très loin de la flamboyance et de la maîtrise des trois premiers.

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5 – Le Monde Perdu (1997)

Un excellent film d’aventure. Mais force est de reconnaître qu’à côté du premier, cette suite n’a pas la même puissance évocatrice. Ni le même lyrisme ou la même émotion. Et puis la magie, entre temps, a un peu perdu en saveur.

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6 – Hook ou la Revanche du Capitaine Crochet (1991)

On termine par le généreux Hook et ses acteurs en roue libre, qui s’amusent autant qu’ils permettent au spectacle de gagner en émotion. Mais au final, si cette adaptation de Peter Pan s’avère bel et bien enchanteresse à plus d’un moment, elle souffre aussi de suffisamment de défauts, techniques notamment, pour figurer parmi les moins bons films du maître.

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@ Gilles Rolland


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