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Contrelittérature et "névrose ouvrière"

Par Contrelitterature

Contrelittérature

Adolph von Menzel : " Jeune ouvrier assis ".

Ce qui oppose la contrelittérature à tous les dandysmes intellectuels et artistiques, c'est la névrose ouvrière. Quand il était directeur littéraire aux éditions du Rocher, Pierre-Guillaume de Roux non seulement n'a jamais cru en la contrelittérature mais il n'a rien fait pour la promouvoir (Le livre-manifeste qui devait paraître au Rocher en 2002 ne parut que trois ans plus tard, en 2005, pour d'obscures raisons, c'est tout dire). Et tant d'autres qui n'ont rien compris à la contrelittérature : Olivier d'Algange, Philippe Barthelet, Jérôme Rousse-Lacordaire, Arnaud Guyot-Jeannin, Olivier Germain-Thomas, David Gattegno, etc. Faux compagnons de route, même s'ils étaient tous honnêtes hommes. Jean Parvulesco comprenait par compassion mais il ne savait pas dans sa chair ce que signifiait la « névrose ouvrière ». Michel Marmin l'avait ressentie mais il était trop engagé par ailleurs. À mon cœur, les deux seules personnes qui aient vécu l'antagonisme contrelittéraire dans leur âme et leur corps sont Christian Rangdreul (†) et Thierry Jolif. À l'un et à l'autre je dédie mon roman-testament Opera Palas.


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