Hier est passé, n’y pensons plus
Demain n’est pas là, n’y pensons plus
Pensons aux doux moments de la vie
Ce qui n’est plus, n’y pensons plus
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Omar Khayyâm (1048-1131) – Les Rubâ’iyât (Seghers, 1982) – Traduit du persan par Jean-Baptiste Nicolas et adapté par Jean-Paul Vibert et Pierre Seghers.