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Autoboyographie, Christina Lauren

Par Maliae

Autoboyographie, Christina LaurenRésumé : Lorsque la famille de Tanner Scott quitte la Californie pour le plus traditionnel État de l’Utah, le jeune homme se rend à l’évidence : il va falloir rentrer dans le placard à nouveau. Après tout, il ne lui reste plus qu’un semestre à tirer avant la liberté (comprendre : fuir ce patelin dès que possible).

C’est alors que sa meilleure amie Autumn lui lance un défi : le prestigieux Séminaire de Provo High. Un programme où les étudiants ont quatre mois pour rédiger un roman. Challenge accepté ! Et Tanner ne regrette pas son choix. Il ne lui a fallu que quelques secondes pour repérer Sebastian Brother, le petit prodige – et accessoirement mormon – qui a remporté le Séminaire haut la main l’année passée.

Et quelques semaines pour tomber éperdument amoureux de lui…

Avis : J’ai bien apprécié ma lecture, mais je n’ai pas été totalement emporté par elle. Quelques petits trucs m’ont gêné. Par exemple, le coup de foudre de Tanner. Genre Sebastian est hyper beau (et tout le long du bouquin on tâchera de nous rappeler combien son physique est top) et bam coup de foudre. J’avoue que dès le début comme ça, ça m’a super gonflé. J’ai trouvé du coup que ça reposait sur rien et j’ai eu du mal avec le début de l’histoire d’amour. La suite m’a un peu réconcilié, il faut dire que Tanner et Sebastian sont vraiment mignons et que les sentiments sont très bien retranscrit, on ressent ce que ressent Tanner et son flot d’émotion.
Au niveau des personnages, j’ai bien aimé Tanner et Sebastian, même si je leur ai trouvé quelque chose d’un peu mou. Je me suis attachée à Autumn aussi, et à son amitié avec Tanner. Les parents de Tanner sont vraiment chouette, les parents de Sebastian le sont un peu moins.
J’ai eu vraiment vraiment beaucoup de mal avec les mormons, mes poils se dressaient quand on les voyait beaucoup et quand ils priaient. Sebastian est assez cool pour un mormon même s’il a des réflexions vraiment débiles par moment, même si comme il a été élevé comme ça, ça peut se comprendre.
Quelques trucs m’ont fait grincer des dents dans l’histoire dont un qui m’a fait explosé et j’ai failli relâcher le livre, et quelques trucs m’ont paru vraiment chouette.
L’histoire est un peu molle par moment, ça tourne aussi en rond, et ironiquement j’ai par contre trouvé qu’entre Sebastian et Tanner ça allait trop vite (je préfère quand les relations prennent leur temps).

En bref, une histoire plutôt sympathique, dont les sentiments sont très bien décrits, mais qui ne m’a pas non plus fait tourner la tête comme c’est le cas pour d’autre.

Phrase post-itée : 
« la seule façon d’écrire un livre, c’est de l’écrire. »

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