Magazine Culture

L’écologie ou l’école de la vie

Publié le 03 septembre 2018 par Le Journal De Personne
Qu'avons-nous donc appris ? Qu'avons-nous donc compris ?

Sinon que l'écologie n'existerait pas sans une logique d'école, qui repose sur un dogme et un seul, un axiome et un seul, qui fait office d'axiomatique et selon lequel : Nature et Ordre sont inextricablement liés...

L'ordre n'est pas donné... il faut se le donner... sans discontinuer.

Tout emploi inapproprié de l'énergie est gabegie... c'est du temps perdu.

Tout emploi approprié de la Nature est énergie... c'est du temps retrouvé.

Notre civilisation ne peut que péricliter si elle s'appuie sur une nature dénaturée, usée ou épuisée.

Il faut qu'elle vive pour que nous vivions... Il faut qu'elle dure pour que nous perdurions.

Les anciens disaient : pas de science sans conscience.

On peut dire aujourd'hui que notre existence ne peut avoir aucun sens si elle fait fi de la nature et de ses ordonnances...

C'est cela l'écologie, le sens écologique, la conscience écologique, la transition écologique.

Ce n'est pas un produit à part dans votre supermarché, mais une vision et une révision de tout le marché !

Une nouvelle façon d'aborder le problème pour ne pas être débordé.

Ne plus accepter n'importe quoi dans notre paquet... pour impacter et avoir un impact sur le cours des valeurs et sur les valeurs en cours.

L'écologie c'est la quête d'un fondement pour chacun ou l'effondrement de tous ! C'est une conquête pour tous ou pour personne.

Ce n'est pas aux dirigeants mais aux gens de devenir plus intelligents :

Avec un nouveau système d'objets, avec un nouveau traitement des déchets, avec de nouveaux projets, de nouveaux horizons à envisager...

Et ça ne peut pas se faire sans un changement de paradigme, de modèle de société et de mode de productivité.

Il va falloir un jour ou l'autre substituer au principe de réalité qui est entièrement absorbé par la rentabilité et la quête toute bête de profit, un principe de responsabilité qui n'abandonne pas la Nature dans l'homme, mais l'ordonne et la subordonne à l'intérêt commun !

Moralité :

On ne doit pas changer de ministre mais de registre... et on ne peut changer de registre avant d'enregistrer que la raison du sinistre c'est aussi bien l'homme dans la Nature que la Nature dans l'homme.


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Le Journal De Personne 76484 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte