C’est avec une envie mêlée d’angoisse que je sors ce gros pavé de 920 pages de ma PAL. Envie, parce que j’aime cette saga et que j’ai envie de savoir comment l’histoire évolue. Angoisse, parce qu’il fait 920 pages, ce qui veut dire que je vais me casser le dos pendant une semaine.
Bref.
De quoi ça parle?
Privé de ses pouvoirs magiques et de son titre de Prisme, déclaré mort et enfermé dans la prison magique qu’il avait conçue pour son frère, l’ex-empereur Gavin Guile n’a pas la moindre chance de s’évader. Mais les sept satrapies vont bientôt affronter la pire menace de leur histoire… et il est le seul à pouvoir les sauver.
Alors que les armées du Roi blanc balaient les troupes de la Chromerie et que les anciens dieux renaissent, le destin du monde se résume à une seule question : qui est le Porteur de Lumière ?
Mon avis:
J’avais un peu oublié les derniers évènements du tome 3 (oups !), mais j’ai tout de même vite replongé dans le bain. J’avais presque oublié à quel point Brent Weeks était cruel avec ses personnages. Il ne leur épargne rien. Ni la mort, ni la douleur, ni les dilemmes cornéliens.
Je suis complétement perdue par l’identité de Gavin Guile, estomaquée par Karris, agréablement surprise par Kip et tremblante de peur pour Téa. Impossible de rester de marbre devant ce quatrième tome et je demande jusqu’où Brent Weeks va nous emmener… Comment va se terminer toute cette histoire ?
Si j’aime cette saga, je regrette toujours le (trop) grand nombre de pages et de personnages à suivre, qui me perd et me lasse parfois.
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