
(Machik Labdron femme et dakini du Tibet, pp. 92-93)Ainsi la conscience s'unit à l'espace.Comme dit un poème attribué à Âryadéva,Lorsque ton corps et ton esprit demeurent sans artifices,Une conscience nouvelle s'élève qui s'étend aux confins de l'espace vide.(ib. p. 180)Selon Âryadéva, la reine des méthodes est d'unir la conscience à l'espace.La conscience et l'espace ne font plus qu'un,sans forme ni couleurs,embrassant et imprégnant toutes les formes et les couleurs.La Mère Sans Pareille appelait cette contemplation"Ouvrir la porte de l'espace".