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Wanted choisis ton destin

Par Corentino

Prends la pilule rouge …

critique du film wanted choisis ton destin
et tu deviendras fonctionnaire comptable à la cogip
Choisis la pilule bleue et tu deviendras une arme de destruction massive à toi tout seul et petite cerise sur les cerises qu’il y a déjà partout sur le pancake, tu te taperas Angelina la belle.

Bon si c’était morpheus qui venait me demander ça au réveil, je l’enverrais direct se faire voir chez les Chinois, mais si c’est Angelina herserlf qui me propose ça dans son plus beau décolleté alors que je n’ai rien d’autre à faire que de faire la queue au supermarché, ça mérite un tantinet de réflexion.
Bob a eu plus ou moins la même réaction et décide de suivre angelina dans sa belle voiture rouge qui roule très vite.
Et là boum, le pauvre Bob apprend qu’on lui a menti dans sa vie.
1 : Son père n’a pas vraiment disparu, c’est juste qu’il était le leader sur le marché du crime sur commande.
2 : La balle des revolvers et autres armes à feu peuvent faire des courbes si on met de l’effet genre frappe là comme beckam.
Du coup, c’est l’heure pour lui de faire une petite crise d’adolescence de derrière les fagots.

Allé viens voir mon film y a plein de scène d’action et même une scène de cul avec les fesses d’Angelina.
Et en plus y, c’est cadal, y a une histoire de confrérie d’assassins en mode on bute tout le monde. Nous on s’en carre, on tire d’abord et ensuite, on se marre.
Et je mets tout ça dans ma bande-annonce d’une minute trente histoire que tout le monde se disent en se donnant des claques avec les pieds qu’il faut aller le voir ce film génial avec les balles qui sont aussi courbes que les chutes de rein de l’Angelina.
Alors qu’en fait dans la réalité, Wanted est un film tellement naze. À part les quelques scènes d’action dignes d’un matrix ou d’un bon vieux film d’arts martiaux, on passe son temps à se morfondre dans son fauteuil à attendre la prochaine scène d’action qui ne vient jamais.

Après me direz-vous il y a évidemment le pourcentage de detentage du cerveau, mais là c’est quasiment la limite du foutage de gueule.


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