J'ai la joie de voir l'un de mes poèmes récents, « Équinoxe » (à paraître dans un recueil aux éditions Henry en 2020), traduit en espagnol par Diego Alejandro Martinez et mis en ligne sur le site de la revue Fracas.
Au terme d'un demi-siècle d'écriture, même si je suis déçu du peu d'écho que mes œuvres ont rencontré, je mesure la chance d'avoir croisé certains artistes et créateurs qui se sont intéressé à mes textes au point de leur consacrer de leur temps et de leur énergie :
Je ne remercierai jamais assez :
Dominique Laronde, qui a illustré une vingtaine de mes « courts métrages », le fruit de notre collaboration constituant l'exposition « Portraits croisés » ;
le comédien Philippe Borrini, qui a choisi et lu certains de mes textes à Cluny ;
et maintenant Diego Alejandro Martinez qui a traduit ce poème.
Le poème « Équinoxe », dans ses deux versions, française et espagnole.
J'ai la joie de voir l'un de mes poèmes récents, « Équinoxe » (à paraître dans un recueil aux éditions Henry en 2020), traduit en espagnol par Diego Alejandro Martinez et mis en ligne sur le site de la revue Fracas.
Au terme d'un demi-siècle d'écriture, même si je suis déçu du peu d'écho que mes œuvres ont rencontré, je mesure la chance d'avoir croisé certains artistes et créateurs qui se sont intéressé à mes textes au point de leur consacrer de leur temps et de leur énergie :
Je ne remercierai jamais assez :
Dominique Laronde, qui a illustré une vingtaine de mes « courts métrages », le fruit de notre collaboration constituant l'exposition « Portraits croisés » ;
le comédien Philippe Borrini, qui a choisi et lu certains de mes textes à Cluny ;
et maintenant Diego Alejandro Martinez qui a traduit ce poème.
Le poème « Équinoxe », dans ses deux versions, française et espagnole.