Date de parution : 06/09/2018
Éditeur : Nil (Éditions)
ISBN : 978-2-84111-956-1
EAN : 9782841119561
Format : Grand Format
Présentation : Broché
Nb. de pages : 360 pages
Poids : 0.41 Kg
Dimensions : 13,0 cm × 20,6 cm × 3,1 cm
Prix: 19€
Note: 12/20
Présentation de l'éditeur:
Katharina, mère de deux enfants, est débordée par un quotidien qui ne lui fait pas de cadeaux. Son mari a accepté un job à Berlin, loin de chez eux, et elle est la plupart du temps livrée à elle-même. Elle s'occupe de tout son petit monde, assommée de listes à cocher et de tâches à accomplir. Ce vendredi, alors qu'elle découvre une boule dans son sein, ses préoccupations vont prendre une autre tournure. Et les questions affluer : si elle devait partir, que laisserait-elle en héritage ? est-elle devenue la fourmi invisible d'une famille qu'elle aime mais qui ne la voit plus ? En dépeignant la vie d'un foyer moderne pris dans ses contradictions, Mareike Krügel nous donne à réfléchir sur le temps qui passe et les petits riens qui jalonnent une existence. D'un regard aiguisé où l'humour le dispute aux larmes, elle nous offre le portrait d'une femme qui est tout sauf ordinaire.
Katharina est une mère hyperactive, tout le temps occupée, à droite à gauche. Elle va chercher son enfant qui saigne du nez à l'école mais en même temps elle répond aux sollicitations de ceux qui ont besoin d'elle, s'occupe de son intérieur et en particulier de son linge. Son mari travaille loin donc elle porte sur ses épaules tout le poids du foyer bref, elle vit en apnée.
Un jour, elle découvre une boule suspecte dans son sein et alors sa vie bascule. Elle se repasse le filme de sa vie, se lance dans une introspection de son corps, de ses souvenirs...
Je suis un peu mitigée avec cette lecture.
Je n'ai pas réussie à entrer dans ce roman, ni à m'identifiée à l'héroïne. Pourtant l'histoire était accrocheuse, sans être originale, elle avait tout pour plaire. En fait, l'auteure écrit bien mais c'est un peu trop "fouilli" pour moi, j'aime quand le récit est plus construit, là ça part dans tous les sens. Beaucoup de sujets délicats sont abordés, il y a beaucoup de Katharina aussi: la mère, la survivante, la blessée, la sobre, l’alcoolisée, la petite fille, la femme forte...
Ce récit est comme un ouragan, Katharina une tornade, l'ensemble est assez surprenant et remuant. Malheureusement, je ne garderai pas un grand souvenir de ce roman même si ce n'est pas mauvais, je pense que ce n'est pas pour moi.