Dôme, de Moataz Nasr
Une tente, un abri arrondi de bois tressés reposant sur un lit de cristal, verre brisé ou vagues remuées doucement. Un abri où s’arrêter un temps court ou long, une demeure de nomade, qui accueille ou protège. De son coeur monte une lumière vive, peut-être cette même lumière qui filtre derrière la porte de Judith Reigl. Cette lumière-là projette vers le ciel obscurci un mot, un seul, dans la langue de l’artiste Moataz Nasr, le mot arabe qui dit « amour ».