Samedi 19 janvier, s’est déroulée la troisième édition de la Nuit de la lecture.
Avec mes deux acolytes, Marie Juliet et Magali – et nos Amoureux respectifs – je me suis rendue à la Bibliothèque d’Étude et du Patrimoine de Toulouse. À noter que c’est lors de l’édition de 2018 que furent créés les Dimanches de l’imaginaire.


Ce billet ne contiendra pas de photos des lieux donc je vous invite à (re)lire l’article de la Nuit de la lecture 2018. Cette année, la Grande salle revêtait des allures des 1001 nuits : une tente avait été installée sous la coupole : on pouvait déguster du thé à la menthe assis sur des coussins.
Si j’ai passé du temps dans la Grande salle, ce n’était point pour me délasser sous des rythmes orientaux mais bien pour mener une investigation !
Au vu de la frustration de l’année dernière, dès lecture du dépliant de l’événement, nous nous sommes inscrits à la detective party. La mission était un peu lointaine du monde de la littérature mais en grande appréciatrice de coopération – jeux de plateau, escape game – je ne pouvais qu’adhérer à ce genre d’animation.






Nous sommes de fiers membres de la « Dirk Gently’s Holistic Detective Agency » puisque nous avons effectué nos recherches dans le flou le plus total, mettant en corrélation – douteuse – des renseignements absurdes recueillis en séparant l’équipe parfois en groupe d’un. Il est évident que notre méthode holistique a fonctionné puisque nous avons trouvé le coupable !



On a beaucoup piétiné – aux sens propre et figuré – il y eu aussi pas mal d’attente pour aller faire expertiser nos relevés au laboratoire. Mais quelle joie d’avoir été les seuls à mettre la main sur un indice, d’avoir ouvert une serrure les premiers et d’avoir cette confiance absolue en menottant notre suspect. Bref, on s’est bien amusés.


