Bienvenue dans notre visite guidée en tératologie. Du grec « teras/teratos »; signe envoyé par les dieux ou prodige monstrueux, la tératologie est l’étude des monstres. Dans la langue latine « monstrum » faisait partie du lexique religieux et désignait un signe, un prodige en provenance du ciel. Envoyé par les dieux pour indiquer leur volonté, le monstrum devait être déchiffré par les prêtres.
Mais le monstre peut aussi se rencontrer dans la vraie vie. Exhibé dans les cirques, conservé dans les bocaux remplis de de formol, c’est une erreur ou curiosité de la nature.
Cette monstruosité a largement inspiré de nombreux récits fantastiques et notamment la mythologie grecque et romaine. On y croise des satyres au corps de bouc et tête d’homme, des Chimères, de chèvre et de serpent ou bien encore des sirènes au corps d’oiseau et à la tête humaine.
Les monstres troublent nos sens et notre raison.
Ces êtres mi-homme, mi-animal font resurgir ce que nous possédons d’animalité et sont les représentations imagées de pulsions et instincts mauvais souvent inconscients mais pourtant bien ancrées dans la nature humaine. Pour en savoir plus sur la nymphomanie par exemple, rendez-vous avec les nymphes!
On vient devant les monstres, comme un petit enfant.
C’est pourquoi les montres sont souvent violents, hideux, profondément pervers et méchants. Les créatures monstrueuses reflètent aussi une peur presque enfantine d’être dévoré. Dans les récits pour enfant, ce monstre est un ogre horrible et affamé. Dans les histoire mythologiques, c’est le Minotaure, mi homme, mi taureau, prisonnier d’un labyrinthe crétois et dont l’appétit oblige le roi à lui offrir tous les ans 7 jeunes hommes et 7 jeunes femmes.
Les monstres hantent nos nuits
Ces êtres épouvantables, ont l’habitude de se monter quand la nuit prend le dessus sur le jour. C’est le cas de la Bête ( dans le conte de Mme Leprince de Beaumont), de Dracula, le loup-garou ,la bête du Gévaudan etc… Mais que cela ne vous empêche pas de dormir !
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