Pour terminer ces notes italiennes, impossible de ne pas passer par l’opéra. J’ai choisi un air célébrissime de Puccini (1858-1924).
Un bel dì, vedremo, extrait de Madame Butterfly, est chanté à l’acte II. Cio-Cio-San (son vrai nom, en japonais « Mademoiselle Papillon ») s’adresse à sa servante Suzuki et imagine le jour heureux où le lieutenant B. F. Pinkerton reviendra enfin des États-Unis. Voici une version chantée par Renata Tebaldi.