Magazine Culture

The Marshals signe un nouvel opus de blues rock made in Auvergne

Publié le 21 juillet 2019 par Camillegreen @camillegreen03

The Marshals est de retour avec « Les Bruyères Session » (Freemount Records), 5ème épisode et nouvelle étape dans la vie de ce groupe indépendant de blues électrique, originaire de Moulins (Auvergne). Depuis plusieurs années, les trois musiciens nous ont habitués à ce rendez-vous, la sortie d’un nouvel album enregistré à la suitede « sessions », ces moments où ils laissent spontanément jaillir le Mojo de leur musique. Un beau rituel qui met en valeur la construction artisanale de leur album et qui laisse place à l'improvisation.  

The Marshals signe un nouvel opus de blues rock made in Auvergne

Selfie par The Marshals


Que raconte cet album « Les Bruyères Session » ? Pas mal d'histoires sur le doute, souvent inspirées par des choses de la vie qui se sont déroulées dans l'entourage proche, mais qui ne parlent pas directement des personnes concernées, car cela pourrait très bien arriver à tout le monde. De qui vous êtes-vous entourés pour faire cet album ? Il a été créé dans votre studio à Moulins ? Nous avons travaillé des nouveaux morceaux entre février et août 2018 dans notre studio, à Moulins. Vers le mois de juin on s'est dit qu'il fallait trouver un autre lieu pour faire une nouvelle session, on a opté pour la grange de Franck et Mano à Bourbon l'Archambault, au lieu dit les Bruyères, début septembre. La date butoir approchant, on a fini les deux derniers morceaux mi-août, on s'est dit qu'il nous fallait également un quatrième homme pour jouer des maracas et congas, on a donc fait deux répètes avec Fabien Larvaron avant la session. Cette fois-ci, nous avons enregistré tout en prise directe, sur un seul micro, sur quatre jours de musique, farniente, bières et plancha.

The Marshals signe un nouvel opus de blues rock made in Auvergne

© Sophie Hervet

Que raconte le titre « On The First Day » ? C'est l'histoire de deux personnes qui, le temps passant, se rendent à l'évidence que malgré leur sympathie l'un pour l'autre, ça ne marchera jamais. La pochette de l'album est-elle de nouveau issue de vos archives personnelles ? C'est une illustration tirée d'une vieille carte postale. On a voulu garder le lien avec les précédents disques, mais avec un animal ni mort, ni exploité, comme on nous l'avait fait remarqué plusieurs fois. Vous êtes plus addict à Facebook, Twitter, Snapchat ou Instagram ? Je crois que aucun de nous n'a Twitter, Snapchat ou Instagram. Donc Facebook par élimination. Vous écoutez quoi en ce moment ? Toujours pas de zouk !


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Camillegreen 957 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine