Vous le savez déjà Marie Vareille et moi, c’est le coup de foudre ! Une magnifique histoire d’amour qui a débuté en 2015. Depuis Marie Vareille a la gentillesse de me faire parvenir ses livres, toujours avec une petite dédicace qui fait chaud au coeur. J’ai reçu la vie rêvée des chaussettes orphelines en Juin, je l’ai lu ou plutôt devrais-je dire : dévoré livrovore que je suis. Enfin, prise de scrupules, j’ai glissé un marque-page 100 pages avant la fin parce que quand même, ça ne se fait pas de ne pas déguster. Et puis, et puis, je voulais trop savoir, alors j’ai tout lu et j’ai adoré.
La vie rêvée des chaussettes orphelines, c’est l’histoire d’Alice, une jeune Franco-Américaine qui suite à des évènements dramatiques qui nous échappent retourne vivre en France à Paris après des années passées en Amérique. Au début du roman, nous assistons à son installation à Paris et à son embauche dans une start-up qui ne l’inspire guère qui se propose de réunir les chaussettes orphelines. Vous savez, ces chaussettes qui disparaissent mystérieusement et qui se retrouvent désespérément seules. Alice a un loyer à payer et ne croule pas sous les propositions d’embauche, elle accepte donc cette offre insolite sans trop croire en l’avenir de cette entreprise.
Des années plus tôt, suite à une visite chez son psychologue, Alice se met à rédiger un journal. J’ai bien rigolé car elle donne à son journal le nom de Bruce Willis. ça m’a fait penser à Il est grand temps de rallumer les étoiles de Virginie Grimaldi avec la petite fille qui appelle son journal Marcel. Lu plus récent, j’ai également pensé à Ciao Bella. Et puis bien sûr comment ne pas citer mon préféré de tous : Le journal de Bridget Jones.
Ce journal nous apporte des précisions sur le présent et nous permet peu à peu de comprendre pourquoi Alice a quitté précipitamment l’Amérique.
Dans ce roman, il y a bien sûr de l’humour à toutes les pages, mais un suspense haletant. Ce n’est pas seulement une comédie romantique ou un roman feel-good, mais bien un roman à suspense. Une fois ouvert impossible de le fermer c’est un Page-Turner (ou devrais-je dire un accrolivre)
Merci pour ce livre qui se lit tout seul et fait passer par toutes une palette d’émotions.