
L'annonce de la promesse de resserrement costaude sur le droit d'avoir certaines armes n'a pas suffit au Parti Libéral pour dissiper la fumée qui entourait l'envie de scandale commune de ses blackfaces.
Une rumeur laisse entendre que le Canada allait prochainement être rebaptisé Sorry.

Aux États-Unis, on en a fait un plus gros "big deal" encore qu'ici. Ironique non? Un pays dont le président ne s'excusera jamais de rien. Et qui est coupable de tellement tellement pire.

On le soupçonne, le con d'en bas, d'avoir comploté avec ses homologues urkainiens, pays post-soviétique où le fils de Joe Biden entretiendrait de liens d'affaires, afin d'avoir un peu de croustillant à présenter publiquement. On le soupçonne d'avoir chercher des squelettes dans le placard. LUI, qui en a des containers pleins dans toutes les États-Désunis!

Vous vous rappelez Donald Trump, incapable de fermer son parapluie à l'entrée d'un avion? Ce n'était pas parce qu'il était plutôt crétin (il le reste tout de même) c'est plutôt parce qu'il n'a jamais eu à le faire de sa vie! On le faisait pour lui. On le fait encore plus avec son poste qu'il comble si mal.

La richesse insensibilise. Trudeau en Blackface en est une des multiples preuves. Dans son angle mort, il n'a jamais pensé que le blackface puisse être une manifestation raciste douloureuse pour la communauté copiée. Au point qu'il l'a tout de même fait trois fois.
Minimum.
Arriverons nous à passer à autre chose? Faudra.

Y a une campagne encore derrière toute cette fumée. Yves-François Blanchet (je le débaptise toujours en l'appelant François-Yves!) et Jaghmeet Sing réagissent encore le mieux face à cette tempête dans un verre d'eau.
Juju s'y noie?
Je ne crois pas. Mais il reste encore en surface. Et personne jusqu'à maintenant, dans cette campagne, ne semble capable du knockout.

Tout est en jab mou.
Faudra parler santé, éducation, frais d'éducation, transport énergétique, environnement, climat, partage des richesses, péréquation, sports, conditions de travail, économie, relations avec le féroce abruti des États-Unis, partenariat commerciaux à l'étranger, immigration, et combien d'autres terrains si riches encore, et presqu'inexploré depuis le début de cette terne campagne.

Y en aura des épouvantails dans les garde-robes. Y en aura d'autres.
Il y aura redites.
Comme disait un grand sage pas plus tard qu'hier, "la rareté créé la valeur. Justin Trudeau s'est excusé si souvent depuis le début de son règne, qu'on n'écoute plus ses excuses".
Lui, il aura mon vote le 21.
Si on vote!
Au fédéral, on est incapable de compléter notre compliqué changement d'adresse...