
Bien sûr la peinture est une histoire de regards croisés mais ici on étouffe dans ce gynécée de 4 femmes au sein d'une île bretonne ( j 'espérais Belle Ile, mais c'est plus probablement la côte sauvage de Quiberon) où le visage d'Adèle Haenel est omniprésent ; trop âgée pour le rôle elle y interprète cette jeune fille en colère que l'on sort du couvent ( où elle aurait aimer rester pour y écouter de beaux chants et de l'orgue) pour l'obliger à épouser le promis milanais de sa sœur qui s'est suicidée car c'est la seule chance pour sa mère cloîtrée dans son château breton glacial de retrouver le plaisir de la ville italienne de sa jeunesse....
Fuyez ce cinéma là pour profiter d'une expo de ..peinture ou écouter Vivaldi chez vous!