C'est ce que le président des États-Unis nous demande en rééxigeant de connaître l'identité du lanceur d'alerte qui l'a dénoncé dans ses errances ukrainiennes.
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L'honnêteté plein les yeux
Marc-Yvan Côté, Nathalie Normandeau aussi, ont mis le pied du côté sombre de la force. Ils étaient en position de pouvoir, travailleur Libéral dans l'ère du gouvernement de Jean Charest. Un gouvernement, comme bien d'autres, qui ne manquait pas de fripouilles.Marc-Yvan et Nathalie se sont fait coincer à tricher. Parce que dénoncés. Par qui? peu importe, ils trichaient.
Nathalie savait exactement ce qui se passait quand la police est venue la chercher chez elle, un matin. Elle a aussitôt tenter de se justifier et a répété maintes fois que sa vie était finie. Quand on marche dans les couloirs de la mort, la défiant, faut pas s'étonner de la croiser. Nathalie a vu la mort de sa carrière. Elle tente de s'en sortir depuis 2016. Avec succès, puisque 5 des 8 chefs d'accusations contre elle sont depuis, tombés.
Côté vise ailleurs et ne compte pas mourir sans tuer avant. Et celui/celle qui l'a dénoncé est probablement quelqu'un qui travaillait pour l'UPAC. L'Unité de Protection Anti-Corruption. Côté est soupçonné d'avoir avalé de nombreux pots de vins de la firme Roche, qui avait eu en retour des contrats de développement dans l'industrie de la construction. Comme Donald, il veut savoir qui a parlé.
Tout le monde sait cette industrie sale, archi sale. Et Côté est probablement insulté de se faire coincer sachant que des dizaines d'autres pêchent de la même manière sans être affectés.
Il tente lui aussi de savoir QUI? l'a dénoncé. La journaliste Marie-Maude Denis en sait deux ou trois choses puisqu'elle a fait un reportage dans le cadre de l'émission Enquête dont le mandat EST de traquer les escroqueries Québécoises ou étrangères. Bien entendu, Denis, Femme intelligente a protégé sa source. Et le fera jusqu'à sa mort. C'est le devoir de gens intègre. Qui sont le contraire des Normandeau/Côté de ce monde.
Côté, crapule sans vergogne, stipule que le reportage de la journaliste l'empêche d'avoir un procès juste et équitable. Ce qui se défend comme argument. Mais il exige aussi de connaître la source de Marie-Maude Denis. Ou si vous préférez "je n'ai rien à me reprocher mais dites-moi qui aller intimider". Si, effectivement, la dénonciation vient de l'UPAC, on pourrait choisir de crier à la trahison et gnagnagna...
Les vrais "traîtres" sont tellement ailleurs.
L'équipe d'avocats de Côté a traîné Marie-Maude Denis en cours afin de la forcer à révéler le nom de la/le lanceur d'alerte. La cour suprême du Canada a temporairement donné raison à Denis, mais renvoie la cause au Québec, pour "réexaminer" la cause, dont la couronne aurait de nouvelles preuves. (bullshit cuisinée avec soin)
Je vous le donne en mille qui a dénoncé les reprochables.
Un(e) héros
ou une héroïne.
Le/la même qui a dénoncé Donald Trump.
On a redéfini nos sexes
Nos genres.
Nos consommations de films.
Nos consommations de musique.
Nos moyens de diffusion musicale et télé.
Nos relations hommes-Femmes.
Nos économies.
Nos moyens de communiquer.
Il serait temps de redéfinir nos héros.
Qui ne sont très certainement pas leaders de pays, de nos jours.