Un gros titre qui se comprend tout seul !
Lors de son discours inaugural, Alberto Fernández avait annoncé son intention de réformer en profondeur les services secrets, sources ces dernières années d’un grand nombre de dysfonctionnement de l’État et notamment de la Justice.
A la tête de ces services, il vient donc de nommer une magistrate, présidente d’une association professionnelle de gauche, Justicia Legítima, Cristina Caamaño.
Cristina Caamaño, souriante, posant dans son bureau
décoré de ses diplômes (une coutume largement répandue) et un portrait de San Martín
De toute évidence, il y a chez lui la volonté de mettre mieux en avant les femmes qu’il impose dans des secteurs où elles étaient jusqu’à présent assez absentes.
Pour aller plus loin : lire l’article de Página/12 lire l’article de La Nación