Le roman policier est porteur d’une morale simple, en effet le bien finit par triompher du mal. Le héros du polar finit par découvrir le criminel, le brigand, et le met en prison, ou du moins le neutralise.
C’est une morale presque biblique. Cette morale possède plusieurs niveaux de tolérance. Ainsi, nous percevons de façon différente le criminel selon qu’il assassine un enfant, une personne handicapée, une mère de famille. Dans ces éventualité nous sommes révoltés. Nous tolérons probablement un peu plus l’assassinat un personnage supposé insignifiant socialement tel qu’un clochard. Bien que Simenon ait atténué ce fait dans son roman « Maigret et le clochard ». Un chef d’œuvre de littérature, j’y reviendrais. À l’extrême le meurtre d’une crapule est toléré. Ceci est le prolongement de nos sentiments de la vie réelle envers ceux que nous concevons comme étant les plus faibles.
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