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Mes fictions du nouvel an : Joyeuse retraite, Pat et Mat, Le bazar de la Charité et Joker et Le cirque Charlie Chaplin

Publié le 04 janvier 2020 par Nathpass
https://www.avoir-alire.com/joker-la-critique-du-film-41198Une critique  très critique d’un film que je n’ai pas ressenti comme cela, car j’ai été très impressionnée comme après avoir vu la Chute sur Hitler ou Ludwig de Visconti car même si on part sur la science-fiction de la cité de Gotham et l’influence des années 70-80 jusqu’à nos jours, ce film est l’antidote de Parasite, je n’ai pas eu l’impression d’être manipulée. Oui c’est psychologique, sociologique mais c’est au delà de tous ces masques, dont on est revenu et c’est l’analyse du pur malaise, des contradictions et de l’inévitable de l’incompréhensible de l’utilisation sans vergogne, sans aucune déontologie, respect dans les médias de l’anonymat pour un Striptease faisant l’apologie du voyeurisme. Oui c’est beau, certaines images de la ville font penser aux tableaux de Edward Hopper qui jette la beauté des villes sur le contraste avec l’extrême solitude de ses personnages. Oui Joker ou bien Arthur est hypnotique envoûtant mais touchant aussi. Surtout que l’on mesure de quelle vie, il aurait rêvé... ses délires amoureux ne sont-ils pas plus beaux que sa réalité comme ceux sur sa mère ? Alors là aussi nous spectateur, on a envie d’y croire mais il y a les dossiers médicaux... à quoi tout l’incompréhensible du monde et de l’individu est réduit. La fin, les scènes du métro, de foules sont hallucinées et l’on ne lâche pas la trajectoire de cet acteur rendu à la fois famélique presque bossu de maigreur et si élégant séduisant pour nos yeux incrédules mais conquis, par lui, tel par un Richard III.Ce film est un chef d’œuvre mais il serait bon que son histoire à Joker s’arrête là, et ne s’épuise pas en une demande de suite, voire de trilogie ?!A certains moments, quand il danse on se croirait en présence plus de l’incroyable Michael Jackson plutôt que celui d’´iggy Pop. Oui, je le reverrais. Et la une des critiques dithyrambiques : http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Joker-est-un-pur-regal-de-cinema--critiqueJoyeuse retraite ! Bon je viens de voir le film. Dans mon cine de quartier je ne m’attendais pas à un film  désopilant eh bien je n’ai pas beaucoup ri mais j’ai aimé quelques moments grâce à Judith Magre surtout pour moi. Il y a même une excellente blague dite par Judith Magre à toutes les petites vieilles comme elle de la maison de retraite ! Cette femme garde ses yeux qui brillent comme des étoiles. Certains seconds rôles sont très mauvais ! Mais ils ne restent pas trop longtemps comme l’architecte soit disant portugais !!! Ah aussi les deux enfants sont mignons avec ses lunettes pour le petit garçon mais pas très bons et ça plombe un peu... Par contre la fin est jolie. Nicole Ferroni n’est pas encore comédienne mais elle est elle et cela passe très très bien pour moi parce que je l’aime bien. À propos d’enfant au cinéma avez vous vu la Série TF1 sur le Bazar de la Charité les enfants Thomas et Camille et aussi le petit gavroche sont très bons comédiens et on s’attache à eux comme aux autres rôles  l’histoire est très bien ficelée même si elle est un peu complaisante à l’horrible de la situation tout y est crédible. Quels acteurs les adultes on les dirait choisis par Josée Dayan ou Canal +, Gilbert Melki est époustouflant en méchant sadique pervers intelligent odieux et séducteur quant aux autres avec Audrey Fleurot et Josiane Balasko dans les plus connus ils sont tous vraiment bien. Le rythme est haletant j’ai beaucoup aimé et Pascal aussi. Critique de Télérama très très nuancée comme ils en ont le secret
Saga“Le Bazar de la Charité” ouvre ses portes sur Netflix Réservé aux abonnésAude DassonvillePublié le 26/12/2019.Audrey Fleurot, dans Le Bazar de la Charité.La plateforme propose à ses abonnés la super-production qui a enflammé les audiences de TF1 cet automne. À mi-chemin entre “Angélique, marquise des anges” et “La Reine des neiges”, reposant sur un scénario souvent faché avec la vraissemblance, la série souffre de quelques gros défauts. Et pourrait provoquer la lassitude des téléspectateurs.Paris, 1897. Chacune de leur côté, trois femmes se rendent au Bazar de la charité, une vente de bienfaisance très courue de la bonne société de la capitale. Ça papote, ça virevolte, ça se pavane… quand soudain, la surchauffe d’un cinématographe provoque un incendie. En une demi-heure (soit l’essentiel du premier épisode) tout est consumé : le bâtiment, mais aussi les espoirs d’une vie meilleure que nourrissaient les trois héroïnes. Le divorce de l’une (Audrey Fleurot) se complique, le projet de mariage d’une autre (Camille Lou) s’éloigne, quant au rêve de voyage à New York de la troisième (Julie de Bona), grièvement blessée, il est brisé. Dans les sept épisodes suivants, il ne sera plus question que des destins contrariés de ces héroïnes en voie d’émancipation, frondeuses parce que amoureuses – des féministes par accident, en quelque sorte.Gros fil blanc
Produit par Quad TV pour TF1, en partenariat avec Netflix, Le Bazar de la charité a fourni à la Une l’un de ses plus beaux succès d’audience de l’année. Rien d’étonnant là-dedans : la promesse d’une série pleine de fougue et de passion est tenue, pour qui aime les dorures éclairées à la bougie et les dentelles qui dégringolent comme les cheveux des femmes après l’amour. À mi-chemin entre Angélique, marquise des anges et La Reine des neiges – dans une version où le patriarcat tiendrait lieu de pouvoir glaçant –, la narration explore toutes les voies du romanesque… jusqu’à l’égarement. Cousue de gros fil (blanc), fâchée avec la vraisemblance, truffée de dialogues redondants avec l’action, mal jouée (seul Gilbert Melki campe un méchant crédible), ce Bazar nous prend pour des enfants. Mieux définis, certains personnages vicieux auraient pu susciter l’angoisse, et quelques belles âmes des élans empathiques irrépressibles. Au lieu de quoi, les uns et les autres brillent par leur tempérance et leur docilité. Insignifiants, ils sont bien vite oubliés.Gilbert Melki et Audrey Fleurot, dans Le Bazar de la Charité.Surréaliste
Ensuite, sans être spécialiste de la fin du XIXe siècle ni arc-bouté sur le réalisme historique, on peine à rester stoïque à la vue de nos héroïnes en cheveux dans les rues. On sursaute d’entendre un « fils de pute » jaillir d’une bagarre ou un « c’est génial » s’échapper de la bouche d’une femme (on passe sur « Me prends pas pour un con » ou l’ultra contemporain tic de langage « en fait »). Et l’on s’étonne, au minimum, que les personnages se parlent et se retrouvent n’importe où dans Paris avec la facilité de ceux qui viennent de s’envoyer un texto… Contrairement à ce qu’on voudrait nous faire croire, l’addition de jolis décors, de beaux costumes (quoique peu variés) et de flamboyants effets spéciaux (un incendie et des cicatrices chéloïdes sur un visage) ne suffisent pas à faire une bonne série. Et si la prochaine fois TF1 cessait de vouloir tout simplifier, réduire, abréger, édulcorer et faisait confiance à l’intelligence des téléspectateurs https://www.senscritique.com/film/Pat_et_Mat_en_hiver/critique/208726362Donc quand je rentre de chez ma mère, tellement âgée et qui se bat comme une lionne encagée, pour rester autonome,  et faire des choses pour elle qui ont du sens, dans son si beau paysage comme laver ses carreaux,il faut que j’aille tres vite au cinéma. Et pendant les vacances, j’ai la chance de pouvoir aller voir des films d’animation dans le cycle de l’enfance de l’art. Dans la salle trois enfants deux petites filles et leur maman et un encore plus petit garçon et ses grands parents. Le petit garçon est déjà impatient alors que les bandes annonces pubs sont assez courtes au ciné Chaplin Saint Lambert. Une des petites filles me rappelle une autre par ses commentaires. Le petit garçon a juste 3 ans avec ses grands parents trop désireux seulement de l’emmener au ciné, ils s’en iront discrètement au bout d’un quart d’heure. Tandis que la petite fille m’a bien dit qu’elle a beaucoup aimé et sa mère m’a confirmé qu’elle a beaucoup commenté les « bêtises » qu’ils font. Et moi donc ? J’ai aimé surtout l’esprit d’ingénuité des personnages et leurs actions pour peupler leur amitié et leur solitude. Comme ce film se présente sous la forme de plusieurs petits films, celui donc où ils se font des cadeaux m’a beaucoup plu, car ils se font les mêmes cadeaux que nous deux Pasc et Nat ce noel... j’en ris encore. C’est un art de vivre l’amitié quoiqu’il arrive et à tous les âges, le sous texte.... de la vie et de ce film, le fond commun.Le cirque https://www.arte.tv/fr/videos/017218-000-A/le-cirque/Un film de Charlie Chaplin que je n’avais jamais vu après avoir revu les lumières de la ville et pour couronner le tout un doc sur la vie du compositeur Charlie Chaplin, il composait toutes les musiques et n’a jamais pris un seul cours de musique.... Quelle soirée mes aïeux ! Pascal lui se rappelle impeccablement du déroulé du film : les lumières de la ville, moi il faut toujours que je gomme pour me retrouver comme stagiaire,  nouvelle, aux films que j’aime et l’avantage de les voir à la maison, c’est que je peux m’exprimer, m’esclaffer  de rire, frissonner d’émotion, Pascal à l’habitude et rit de me voir rire. Donc revenons à cet inconnu pour nous deux : le Cirque je me suis demandée si Tim Burton ne s’en était pas inspiré dans son Dumbo ou le dernier « comme des bêtes » eh bien !  ils ont eu raison car c’est un petit bijou de tendresse, de romantisme d’amitié... vous connaissez le romantisme d’amitié, c’est s’effacer quand on est amoureux de quelqu’un au « profit »(dire qu’il n’y a pas d’autre mot)de quelqu’un d’autre qui la, le rendra plus heureux, qui est plus dans ses cordes... ses accords... ses talents et partir seul, ensuite comme un éternel vagabond à la recherche d’amitié avec tous, les bestioles, les humains du plus petit ou grand ; c’est cela Charlot, et je les revois quand je les ai déjà vu, ses films, avec un plaisir intensifié, Il est en tant qu’acteur « comique »  (là, non plus il n’y a pas d’autre mot) d’une précision impossible toujours en quête de l’exactitude dans les répétitions des gestes, des scènes je lis tout et je ris d’autant plus.... Gregory Grégory Guillotin dans son art de la caméra cachée est à la même école et dans une autre dimension pour le partage et le « oser tout » Michel Fau. D’autant que tous deux connaissent le romantisme en amitié et en jeu se mettre de dos pour laisser ses partenaires en pleine lumière alors qu’ils sont apparemment au premier plan.... oui mais uniquement pour prendre tous les risques ... https://www.arte.tv/fr/videos/017218-000-A/le-cirque/

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