Le gros titre porte sur le scandale des autoroutes de la SOCMA
le groupe financier de la famille Macri,
sur lequel la justice enquête actuellement
L'information concernant l'inflation se trouve dans la colonne de gauche
Hier, l’INDEC, l’institut national de statistiques, a publié un chiffre encourageant concernant l’inflation en Argentine : en moyenne sur le mois de janvier, celle-ci s’élèverait à 2,3 %, ce qui représente le taux le plus bas depuis le mois de juillet dernier. C’est une très bonne nouvelle pour la reprise de la consommation dans le pays. La seule ombre à ce premier chiffre de la présidence de Alberto Fernández est que l’inflation qui s’applique à l’alimentation de base reste très élevée, à deux fois plus que la moyenne globale : 4,7 %. Et les produits dont le prix ont le plus augmenté sont le sucre (14,7%), la viande hachée (13,4%) et la pomme de terre (13,2%), trois ingrédients dont il est difficile de se passer dans la vie de tous les jours.
La Nación traite l'information en haut de la colonne de droite
Est-ce un effet de la politique de soutien de la demande mise en place par l’actuel gouvernement dès son arrivée aux affaires ? Il est bien entend trop tôt pour tirer la moindre conclusion. D’autant que ce bon résultat va déclencher une vague de soupçon sur la sincérité des chiffres officiels, l’INDEC étant toujours soupçonné d’être à la solde du pouvoir dès que celui-ci est aux mains des gens de gauche.
Clarín fait la même chose que La Nación
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Pour aller plus loin : lire l’article de Página/12 lire l’article de La Prensa lire le premier article de Clarín qui insiste sur l’augmentation des produits alimentaires lire le second article de Clarín qui reprend la moyenne plus favorable au gouvernement et que la rédaction a mis en une de l’édition du jour lire l’article de La Nación, qui reproduit d’intéressantes courbes.