Dans ce roman, on découvre quelques aspects du manichéisme et du christianisme avec tous les débats et toutes les hérésies du début du christianisme contre lesquelles la vision d'Augustin s'impose, notamment sa vision de la grâce et du péché. On découvre aussi des éléments de la philosophie d'Augustin, de la même manière que l'on découvrait Kierkegaard par Régine dans Tout dort paisiblement sauf l'amour. Sympathique mais sans surprise.
