Résumé : Il veut détruire l’humanité. Elle va tout faire pour l’en empêcher.
Ils sont venus sur terre – Pestilence, Guerre, Famine et Mort. Chevauchant leurs effroyables destriers, les quatre cavaliers ont parcouru le globe, avec chacun le pouvoir d’anéantir l’humanité. Ils sont venus sur terre… pour nous éliminer tous. Quand Pestilence
se dirige vers sa ville, Sara Burn n’a qu’une seule certitude : tous ceux qu’elle connaît, tous ceux qu’elle aime, vont mourir. À moins, bien sûr, que le cavalier aux traits angéliques ne soit arrêté avant. Et c’est exactement ce qu’elle espère accomplir lorsqu’elle
tire sur la créature démoniaque et la jette à bas de sa monture. Dommage que personne ne l’ait informée que Pestilence ne peut être tué. Le cavalier – bien vivant et extrêmement furieux – la retient maintenant prisonnière et a hâte de la voir souffrir. Pourtant,
après des semaines passées à ses côtés, les sentiments qu’il éprouve pour elle, et ceux qu’elle ressent pour lui, deviennent de plus en plus confus. Sara a peut-être enfin l’opportunité de sauver le monde… mais son cœur, lui, a de fortes chances d’y rester.
Avis : Avant de commencer mon avis, je veux dire que ce livre m’a fait sortir de ma zone de confort, ce n’est pas le genre de livres que j’aime et je savais à peu près à quoi m’attendre avec ma lecture.
Notre monde court à sa perte, Pestilence, l’un des cavaliers de l’Apocalypse, parcourt le monde afin de tuer tous les humains avec une maladie atroce. Sara, elle, est tirée au sort pour le tuer, sans savoir qu’il est immortel. C’est ainsi qu’elle va se retrouver captive de Pestilence et que son monde va changer. Se tisse alors tout doucement une histoire d’amour un peu étrange.
Bien bien, que dire? Ce livre m’a vraiment fait rire, mais pas dans le bon sens du terme. Certes il y a beaucoup d’humour, mais ce qui me faisait rire c’était plutôt le manque de crédibilité et certaines scènes. Pourtant j’ai trouvé que c’était bien écrit et assez prenant pour me donner envie d’aller jusqu’au bout de cette histoire. J’étais curieuse de voir comment tout allait se résoudre, alors que Pestilence continue de tuer les gens autour de lui (quand bien même il dit détester ça), et que Sara tombe amoureuse. Mais je n’ai pas du tout accroché à cette relation, je la trouvais pas saine du tout, les bases n’étaient pas bonnes et puis ça m’indifférait totalement. Je n’étais ni attachée à Sara, ni à Pestilence.
Pestilence devient mièvre, et on le fait passer pour le pauvre petit méchant qui en fait a un bon fond et est gentil. N’empêche que c’est difficile d’oublier qu’il a torturé Sara, certes pour se venger, mais il continue quand même à rendre malade des milliers de gens, et même des enfants. Et il se fait passer pour la victime ?
Il y a quelques scènes de cul, dont une qui m’a fait pleurer de rire. Vers la fin ça devient un peu chiant, et j’avais quand même hâte de tourner la dernière page. J’ai trouvé qu’il ne se passait pas grand chose, ils vont de villes en villes, et leurs sentiments augmentent au fur et à mesure. J’ai plutôt l’impression que Pestilence tombe amoureux de Sara parce qu’il n’y a qu’avec elle qu’il traîne, et Sara se fait un genre de Stockholm. D’autant plus qu’elle passe de « c’est un monstre » à « tu es un homme bon »… Mouais, j’y ai cru moyen.
Je n’ai pas détesté cette lecture, mais je n’ai pas non plus aimé. Mais comme je l’ai dis, ce n’était pas ma tasse de thé, j’étais simplement curieuse. Est-ce que je lirai les autres tomes ? À voir mon humeur.
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