Eugene Oneguine est un grand classique de la littérature Russe. Je ne suis pas une spécialiste mais j’ai pris plaisir à découvrir ce livre. J’ai eu un coup de foudre pour Pouchkine dès les premiers mots. La traduction en vers d’André Markowicz y est sûrement pour beaucoup car elle retranscrit à la perfection la musicalité du texte. Je ne suis pas une grande amatrice de Poésie, d’ailleurs les seules fois où j’en ai lu, c’est à l’école ou dans le cadre de mes études pourtant ce roman poétique m’a transporté, peut-être et surement même car il parle de la vie quotidienne et plus particulièrement d’amour. Un texte qui nous plonge dans la Russie de Pouchkine seigneuriale en 1824. Il s’est inspiré de ces séjours dans la campagne Russe pour écrire ce roman paru d’abord sous forme de feuilleton.
J’avais acheté ce livre suite à la lecture de la version moderne de ce roman de Clémentine Beauvais intitulé « Songe à la douceur ». Je ne l’avais jamais lu et durant le confinement, je me suis retrouvée à sec, plus de lecture. J’en ai donc profité pour piocher dans ma pile à lire d’urgence. Je l’ai lu en une journée, impossible de le lâcher.