Titre : Les Chroniques d’Utopia
Tome 1 : L’Arène du Stratège
Auteurs : Arnaud J. Laplace et Chelsea Komorebi
Illustratrice : Noélie Dayma
Éditeur : Autoédité
Genre : Fantasy
Format : epub
Nombre de pages : 200
Sortie le 5 septembre 2020 et déjà en précommande
Résumé de l’auteur
«Alzâck n’est pas le gamin normal qui se découvre soudain un destin extraordinaire qu’on retrouve dans nombre des ouvrages de l’Ancien Monde.
Utopien de quatorze ans, il est le seul à ne pas disposer de magie. Pourtant, malgré ce déficit, il est le grand et prestigieux Stratège Impérial, le plus éminent des Stratèges de ce monde. Il a passé les quelques années de sa courte vie à en sauver d’autres sur les champs de bataille, avec l’aide de ses loyaux amis, Grégory le Cyborg, et Arcadiia, la demi-elfe.
Le jour où Alzâck est kidnappé par la Nation ennemie, il croit à un simple rapt politique. Pourtant, c’est une nouvelle partie qui se joue sur le grand échiquier des Stratèges. Une partie que son cerveau génial ne parvient pourtant pas à décoder. Pour la gagner, il faut renverser le roi de son adversaire : un adversaire plus puissant, inconnu, qu’Alzâck devra poursuivre jusqu’au-delà de son univers qu’il croyait si bien connaître.
Couverture de Noëlie Dayma
Premier volume de la série Poche Les Chroniques d’Utopia«
Mon avis
Merci aux auteurs Arnaud J. Laplace et Chelsea Komorebi, pour m’avoir proposé de visiter leur univers au travers de leur tome 1 de la saga les chroniques d’Utopia.
Sarah Richter 
FelixMittermeier 
Donna Kirby 
dhanelle 
Gerd Altmann 
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Pete Linforth 
Noëlie Dayma
L’histoire
Alzâck, ado assez asocial, est le grand Stratège Impérial. Il est redouté par les ennemis de l’Empire. Mais ces mêmes ennemis, la Ligue, veulent à tout prix kidnapper ce gamin hors norme.
Malgré de multiples tentatives, les missions de rapt restent toutes des échecs, jusqu’à ce fameux jour où Alzâck avait tout prévu où presque…
Heureusement, Alzâck a des amis fidèles, très intuitifs et intelligents qui lui font une confiance aveugle et grâce à cette amitié, il réussira peut-être à se sortir des griffes de l’ennemi.
Mais qui est ce puissant adversaire qui a réussit à le surprendre ?
Les personnages
Alzäck : C’est un jeune ado, très intelligent et surtout c’est le plus grand Stratège d’Utopia. Son Statut de Stratège impérial lui vaut aussi bien l’admiration de ses pairs et de ses camarades de classe que la haine des envieux et jaloux. Mais peu lui importe, il n’aime pas se mêler à la foule, rechigne à aller en classe car il en sait plus que ses professeurs… c’est pour ça qu’il s’autorise de s’absenter de l’école beaucoup trop souvent au goût de son Maître ! Il est un peu prétentieux car il est conscient de sa supériorité en stratégie. L’Empire fait très souvent appel à lui pour contrer les attaques de leurs ennemis de la Ligue. La suprématie d’Alzâck, au niveau de la stratégie leur permet d’être toujours vainqueur. Il se sent tout de même défaillant par rapport au reste de ses camarades car il est le seul enfant de tout l’Empire à ne pas avoir du tout de magie en lui…
Il est très entouré car il est très souvent la cible de kidnapping, mais à côté de ça il a quand même des amis fidèles Arcadiia, la demie elfe et Grégory le cyborg… Tous les trois ont un lien un peu spécial.
La Plume, le Scénario
L’écriture des auteurs est bluffante car je n’ai pas réussi à faire la différence entre les deux, peut-être est-ce dû au fait que l’histoire est prenante et pour le coup les lignes s’enchaînaient très vite ou tout simplement ils ont une entente parfaite sur le déroulé et le ton de l’histoire.
On entre dans l’histoire en plein conflit sévère, une partie du passé d’Alzâck, je n’en dirais pas plus, c’est à vous de découvrir… Suite à cette bataille intense, on retrouve Alzâck à 14 ans, devenu Grand Stratège de l’Empire. C’est un ado, un peu comme tout les ados à ceci prêt qu’il adore se plonger dans des livres de stratégie jusqu’à en perdre la notion du temps. Il est incroyable et ses stratégies sont vraiment imprenables.
Du fait de son immense talent, il est évidemment la cible des ennemis; mais comme un enfant il s’amuse à prévoir des stratagèmes en cas de rapt et à tous les coups il s’en sort… jusqu’au dernier…
J’ai beaucoup aimé tous ces détails sur l’architecture d’Astrapolis, c’était un petit plus pour pouvoir s’imaginer l’envergure de cette ville et le mode de vie d’Alzâck.
Les parties où Alzâck tente de mettre au point des stratégies malgré son souci de santé, malgré son sentiment de malaise au milieu des ses camarades étaient aussi très intéressantes. Ses joutes verbales avec ses profs et cette terreur pour son Maître aussi étaient marrantes;
Les dernières lignes laissent vraiment le lecteur en PLS… J’ai envie avec ces derniers mots de continuer ! Vous êtes durs les auteurs d’accrocher comme ça vos lecteurs, c’est un peu sadique …
En Bref
Un roman vraiment tout public, avec des personnages intéressants, mystérieux;
Un univers où la Fantasy et la Science-Fiction se mélangent;
Un roman à quatre mains indissociables, un roman captivant et quand vous tournez la dernière page vous êtes frustrés car vous voulez continuer !
Merci aux auteurs, Arnaud J. Laplace et Chelsea Komorebi, pour ce moment de lecture agréable et original.
Jeu de briques
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Pacman
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