Magazine Bons plans

Mon bilan lecture de 2020

Par Charonbellis @charonbellis

Bonjour tout le monde ! On se retrouve aujourd’hui pour le meilleur bilan de l’année : celui de mes lectures de 2020 !

Pour celles et ceux qui me suivent depuis un moment, vous savez que la lecture et moi c’est une grande histoire d’amour et l’année dernière, j’ai encore plus lu que d’habitude. Alors que je ne pensais pas pouvoir en lire autant qu’en 2019, j’ai battu mon propre record puisque en effet, pas moins de 34 livres sont venus s’ajouter sur les étagères de ma bibliothèque… enfin si on peut encore appeler ça une bibliothèque car dire que c’est la crise du logement est faible ! L’objectif ebooks est vraiment tombé à l’eau !
Pour cette année, je ne vais rien dire car même si il me semble impossible d’en lire autant, je pourrai encore me surprendre.

Mon bilan lecture de 2020
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En roman français :

Et vous, quel geste vous trahit ?
Il y a les gestes qui disent l’embarras, d’autres la satisfaction de soi, certains encore le simple plaisir d’exister, là maintenant, sur cette terre. Mais tous nous révèlent, dans nos gloires comme nos petitesses, nos amours comme nos détestations :
le selfie, geste roi de nos vies modernes ;
le  » vapotage « , qui relègue l’art de fumer à un plaisir furtif, presque honteux ;
les hommes de pouvoir qui se grattent le dessous de leur chaussette ;
cette façon qu’on a parfois de tourner le volant avec la paume de la main bien à plat ;
un verre qu’on tient à la main sans le boire…

A la fois drôle et tellement vrai, ce livre, comme tous les Delerm, est une vraie pépite !

  • Les gratitudes, No et Moi, Rien ne s’oppose à la nuit de Delphine de Vigan :

Vous êtes-vous déjà demandé combien de fois dans votre vie vous aviez réellement dit merci ? Un vrai merci. L’expression de votre gratitude, de votre reconnaissance, de votre dette. À qui ?
On croit toujours qu’on a le temps de dire les choses, et puis soudain c’est trop tard.

No et moi, c’est une rencontre merveilleuse avec Lou , adolescente surdouée de 13 ans. Coincée entre une mère à la dérive et un père qui force la bonne humeur, elle aborde sa 1ère année de lycée avec réticence et timidité jusqu’à sa rencontre avec No. Un regard nouveau sur le monde des SDF, un mélange de clairvoyance et de naïveté sur la pauvreté. Une bulle de douceur dans cette rentrée littéraire.

    • Rien ne s’oppose à la nuit :

Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l’écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd’hui je sais aussi qu’elle illustre, comme tant d’autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence. D. de V.

Je n’ai pas fini de découvrir toutes les publications de Delphine de Vigan mais en 2020, je suis vraiment tombée sous le charme de son écriture !
Pour celles et ceux qui ne connaitraient pas, c’est à découvrir de toute urgence !

  • Vie de David Hockney de Catherine Cusset :

Peut-être n’éprouverait-il plus jamais de passion comme celle qu’il avait sentie pour Peter, mais il restait la perfection de l’amitié, la beauté des cyprès sur les collines et la joie que donnait le travail. Et s’il oubliait Peter, s’il réussissait à vivre sans lui, ce dernier ne reviendrait-il pas ? Personne n’était attiré par la tristesse et la mélancolie. Mais par la gaieté, la force, le bonheur, oui.

David Hockney est un de mes peintres préférés, découvrir sa vie à travers cette biographie romancée était un vrai plaisir !

Un homme qui refuse de parler attend, en prison, la tenue de son procès. L’avocat qui vient l’assister découvre que les monstres ne sont pas toujours ceux qu’on croit.

  • Le bal des folles de Victoria Mas :

Chaque année, à la mi-carême, se tient un très étrange Bal des Folles. Le temps d’une soirée, le Tout-Paris s’encanaille sur des airs de valse et de polka en compagnie de femmes déguisées en colombines, gitanes, zouaves et autres mousquetaires. Réparti sur deux salles – d’un côté les idiotes et les épileptiques ; de l’autre les hystériques, les folles et les maniaques – ce bal est en réalité l’une des dernières expérimentations de Charcot, désireux de faire des malades de la Salpêtrière des femmes comme les autres.

Dévoré en 3 jours, dire que j’ai a-do-ré ce livre est faible !

  • L’homme qui pleure de rire de Frédéric Beigbeder :

L’ambiance est badine, la coanimatrice sourit, tout le monde semble content. Pourquoi vais-je tout gâcher ? Qu’est-ce qui m’a pris ? Ce livre raconte un sabordage qui n’est pas seulement le mien, mais ressemble plutôt à un sacrifice collectif.
Octave Parango a été concepteur-rédacteur dans les années 1990, model scout dans les années 2000. Le voici qui découvre dans les années 2010 un nouveau métier…

Je l’avais déjà dit lors de la publication du précédent livre mais je suis de plus en plus sensible à l’écriture de Frédéric Beigbeder… Et retrouver le personnage qui m’a fait découvrir son style était un vrai plaisir !

  • Dans les geôles de Sibérie de Yoann Barbereau :

La scène se joue non loin du lac Baïkal, où je vis, où j’aime, où j’ai la chance d’être aimé, à Irkoutsk, capitale de la Sibérie orientale. Des hommes cagoulés surgissent, c’est le matin. Ma fille crie. Elle a cinq ans. Je suis arrêté sous ses yeux, frappé ensuite avec science, interrogé, mais surtout frappé de ce mot ignominieux qu’il m’est pénible d’écrire : pédophilie. Sous les cagoules et dans l’ombre, des hommes veulent ma peau. Ils ont enclenché une mécanique de destruction, grossière et implacable, elle porte un nom, je le connais, le mot a été inventé par le KGB : Kompromat.
Dans les geôles de Sibérie, je tente de comprendre. Dans l’hôpital psychiatrique où je suis plus tard enfermé, je tente de comprendre. On me promet quinze années de camp à régime sévère. L’histoire de mes évasions peut commencer.
Nommer les personnages et les lieux importe peu. Je n’ai rien inventé. C’est un film, et ce n’en est pas un. C’est un roman, et ce n’en est pas un. Ce qui importe, c’est le moment de beauté où la littérature rend la vie plus intéressante que la littérature, ce qu’il faut, c’est l’attraper comme on attrape un poignard. La meute lancée à mes trousses craignait que tout finisse dans un livre. Le voilà.

J’ai lu ce livre pendant le 1er confinement et bizarrement il m’a aidé à beaucoup mieux vivre la situation. Après la stupéfaction en découvrant ce qui lui est arrivé, à chaque page on se demande comment Yoann Barbereau a pu s’en sortir aussi bien !

  • Saturne de Sarah Chiche :

Automne 1977 : Harry, trente-quatre ans, meurt dans des circonstances tragiques, laissant derrière lui sa fille de quinze mois. Avril 2019 : celle-ci rencontre une femme qui a connu Harry enfant, pendant la guerre d’Algérie. Se déploie alors le roman de ce père amoureux des étoiles, issu d’une grande lignée de médecins. Exilés d’Algérie au moment de l’indépendance, ils rebâtissent un empire médical en France. Mais les prémices du désastre se nichent au cœur même de la gloire. Harry croise la route d’une femme à la beauté incendiaire. Leur passion fera voler en éclats les reliques d’un royaume où l’argent coule à flots. À l’autre bout de cette légende noire, la personne qui a écrit ce livre raconte avec férocité et drôlerie une enfance hantée par le deuil, et dévoile comment, à l’image de son père, elle faillit être engloutie à son tour.

J’ai été bouleversée par ce livre. Lu à une période pas forcément très gaie, il a réveillé certaines choses mais comme toujours dans ces cas là, même si la littérature « réveille » elle arrive à panser et aider à avancer.
Comme tous les Sarah Chiche, je vous le recommande vivement !

  • Changer l’eau des fleurs de Valérie Perrin :

Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se confier et se réchauffer dans sa loge. Avec la petite équipe de fossoyeurs et le jeune curé, elle forme une famille décalée. Mais quels événements ont mené Violette dans cet univers où le tragique et le cocasse s’entremêlent ?

Le livre le plus mignon et l’un des plus touchant de l’année… Il ne se raconte pas mais se découvre de toute urgence !

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En romans étrangers :

  • La servante écarlate de Margareth Atwood :

Devant la chute drastique de la fécondité, la république de Galaad, récemment fondée par des fanatiques religieux, a réduit au rang d’esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles. Vêtue de rouge, Defred, servante écarlate parmi d’autres à qui l’on a ôté jusqu’à son nom, met donc son corps au service de son Commandant et de sa femme. Le soir, dans sa chambre à l’austérité monacale, elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, de travailler… En rejoignant un réseau clandestin, elle va tout tenter pour recouvrer sa liberté.

  • Balzac et la petite tailleuse chinoise de Dai Sije :

Nous nous approchâmes de la valise. Elle était ficelée par une grosse corde de paille tressée, nouée en croix. Nous la débarrassâmes de ses liens, et l’ouvrîmes silencieusement. À l’intérieur, des piles de livres s’illuminèrent sous notre torche électrique ; les grands écrivains occidentaux nous accueillirent à bras ouverts : à leur tête, se tenait notre vieil ami Balzac, avec cinq ou six romans, suivi de Victor Hugo, Stendhal, Dumas, Flaubert, Baudelaire, Romain Rolland, Rousseau, Tolstoï, Gogol, Dostoïevski, et quelques Anglais : Dickens, Kipling, Emily Brontë… Quel éblouissement ! Il referma la valise et, posant une main dessus, comme un chrétien prêtant serment, il me déclara : – Avec ces livres, je vais transformer la Petite Tailleuse. Elle ne sera plus jamais une simple montagnarde.

  • Les corrections de Jonthan Franzen :

Entre guerre des sexes et libération des femmes, tendance paroxystique à la création d’entreprise et sursauts de révolte face à une nation ultra-traditionnaliste, cette chronique contemporaine en forme de saga familiale brosse le portrait sans concession d’un pays malade de lui-même.

  • J’ai vendu mon âme en Bitcoins de Jack Adelstein :

En 2014, Jake Adelstein s’intéresse à l’effondrement de Mt. Gox, plateforme d’échange de bitcoins basée à Tokyo. Après la disparition de 850 000 bitcoins, l’équivalent de 500 millions de dollars, Mark Karpelès, son dirigeant, semble le principal suspect de ce qui deviendra une énorme affaire criminelle. Une enquête qui se lit comme un roman noir… 

A défaut de pouvoir voyager, j’ai plongé dans ce livre. En effet, quelques temps avant de partir au Japon, j’avais découvert l’histoire « Karpelès » et je n’ai pu m’empêcher de repenser à cette période.
La 4e de couverture ne ment pas en disant que l’enquête se lit comme un roman noir !

  • Watership down de Richard Adams :

C’est parfois dans les collines verdoyantes et idylliques que se terrent les plus terrifiantes menaces. C’est là aussi que va se dérouler cette vibrante épopée de courage, de loyauté et de survie. Menés par le valeureux Hazel, une poignée de braves choisissent de fuir l’inéluctable destruction de leur foyer. Prémonitions, ruses, légendes vont aider ces héros face à mille ennemis et les guider jusqu’à leur terre promise, Watership Down. Mais l’aventure s’arrêtera-t-elle là ?

  • Mitsuba, Zakuro, Tonbo, Tsukushi, Yamabuki  – la Saga Au cœur du Yamato de Aki Shimazaki :

Pour cette saga, je vous invite tout simplement à courir chez votre libraire pour découvrir tous les tomes. Lorsque j’ai commencé, j’ai dévoré un livre par soir… On y retrouve toute la poésie de la littérature japonaise.

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En polars :

  • La cage dorée de Camilla Lackberg :

Un mari parfait, une fille adorable et un appartement de luxe dans l’un des quartiers les plus chics de Stockholm, Faye semble tout avoir. Mais de sombres souvenirs de son enfance à Fjällbacka la hantent et elle se sent chaque jour un peu plus prisonnière d’une cage dorée. La femme forte et ambitieuse qu’elle était autrefois a tout abandonné pour Jack. Lorsqu’il la trahit, son univers s’effondre. Du jour au lendemain, elle se retrouve sans rien. D’abord complètement anéantie, elle décide de rendre coup pour coup et se met à échafauder une vengeance impitoyable.

Même si on est loin de la saga des Erika Falck, ce roman est juste génial. Trahison, rédemption, vengeance, tout est là et surtout tout imbrique parfaitement.

  • Mork de Ragnar Jonasson :

À Siglufjördur, dans l’obscurité totale de la nuit polaire, l’inspecteur Herjólfur est assassiné alors qu’il enquêtait aux abords d’une vieille maison abandonnée. Son jeune collègue Ari Thór mène l’enquête dans leur petite communauté apparemment sans histoires. Dans ce village du bout du monde, chacun n’aurait-il pas une bonne raison de semer le chaos ? Pour reconstituer le puzzle, il faudra aussi écouter cette voix qui murmure, cloîtrée dans un hôpital psychiatrique, et qui tient peut-être la clef de l’énigme.

  • Complot de Nicolas Beuglet :

Un archipel isolé au nord de la Norvège, battu par les vents. Et, au bord de la falaise, le corps d’une femme. Les blessures qui déchirent sa chair semblent être autant de symboles mystérieux.
Quand l’inspectrice Sarah Geringën, escortée par les Forces spéciales, apprend l’identité de la victime, c’est le choc. Le cadavre est celui de la Première ministre. Qui en voulait à la chef de gouvernement ? Sarah, très vite, le pressent : la scène du crime signe le début d’une terrifiante série meurtrière. Dans son enquête, curieusement, quelqu’un semble toujours la devancer. Comme si cette ombre pouvait lire dans ses pensées. Le soupçon d’un complot implacable qui accompagne chacun de ses pas…

Pour ceux qui ne connaissent pas Nicolas Beuglet, ses romans sont hyper addictifs ! La suite est sur ma table de nuit depuis plusieurs semaines et je retiens de la lire tant que le roman d’après n’est pas sorti en poche. En principe, les tomes ne tiennent que 3 soirs à la maison et avec la fin de celui-là, je pense même que si je commence celui d’après un vendredi soir, il serait capable de ne tenir que 2 jours !

  • L’énigme de la chambre 622 de Joël Dicker :

Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?

  • Il était deux fois de Franck Thilliez :

En 2008, Julie, dix-sept ans, disparaît en ne laissant comme trace que son vélo posé contre un arbre. Le drame agite Sagas, petite ville au cœur des montagnes, et percute de plein fouet le père de la jeune fille, le lieutenant de gendarmerie Gabriel Moscato. Ce dernier se lance alors dans une enquête aussi désespérée qu’effrénée.
Jusqu’à ce jour où ses pas le mènent à l’hôtel de la Falaise… Là, le propriétaire lui donne accès à son registre et lui propose de le consulter dans la chambre 29, au deuxième étage. Mais exténué par un mois de vaines recherches, il finit par s’endormir avant d’être brusquement réveillé en pleine nuit par des impacts sourds contre sa fenêtre…
Dehors, il pleut des oiseaux morts. Et cette scène a d’autant moins de sens que Gabriel se trouve à présent au rez-de-chaussée, dans la chambre 7. Désorienté, il se rend à la réception où il apprend qu’on est en réalité en 2020 et que ça fait plus de douze ans que sa fille a disparu…

  • Le Manuscrit inachevé de Franck Thilliez :

Une enquête sans corps.
Une défunte sans visage.
Un thriller sans fin.
Aux alentours de Grenoble, une voiture finit sa trajectoire dans un ravin. Dans le coffre, le corps d’une femme. À la station-service où a été vu le conducteur, la vidéosurveillance est claire : l’homme n’est pas le propriétaire du véhicule.
Léane Morgan et Enaël Miraure sont une seule et même personne. L’institutrice reconvertie en reine du thriller a toujours tenu sa vie privée secrète : un mariage dont il ne reste rien sauf un lieu,  » L’Inspirante « , villa posée au bord des dunes de la Côte d’Opale, et le traumatisme de l’enlèvement de sa fille Sarah. L’agression soudaine de son mari va faire resurgir le pire.
Dans le vent, le sable et le brouillard, une question parmi d’autres se pose : vers qui et vers quoi se tourner quand l’unique vérité est que tout vous devient étranger ?

  • Train d’enfer pour ange rouge de Franck Thilliez :

Un cadavre en morceaux est retrouvé aux environs de Paris. La victime a été décapitée et son corps martyrisé a fait l’objet d’une mise en scène défiant l’imagination. Le commissaire Franck Sharko est dépêché sur les lieux. Les ténèbres, il connaît : sa femme a disparu depuis six mois. Aucun signe de vie, aucune demande de rançon. Et cette nouvelle affaire, en réveillant le flic qui dormait en lui, va l’emmener au cour de la nuit, loin, beaucoup trop loin. 

Franck Thilliez est devenu mon maitre en frisson. Dans le style tordu, je n’ai rien lu de pire il me semble. Enquêtes dans l’enquête, je ne sais pas comment il fait pour ne pas perdre le fil et tout démêler aussi bien !

  • M, le bord de l’abime de Bernard Minier :

Hong Kong. Entre ses rues frénétiques et ses néons insomniaques, la ville dresse ses gratte-ciel. D’immenses aquariums technologiques où se décide le futur de l’humanité. C’est là, dans l’atmosphère poisseuse de l’été tropical, qu’une Française, Moïra, intègre la firme Ming, concentré d’intelligence artificielle censé devancer nos désirs. Mais pour la jeune femme, l’utopie vire au cauchemar. Derrière les murs du centre ultrasecret, des employées sont retrouvées mortes, violées, torturées. Que cherche vraiment l’empire Ming ? Bienvenue chez M… Au bord de l’abîme.

Lorsqu’ils étaient passés dans La Grande Librairie Bernard Minier et Franck Thilliez expliquaient être amis… En lisant ce livre, j’ai découvert pourquoi !
J’ai adoré ce livre !

En BD :

  • California dreamin’ de Pénélope Bagieu :

Ellen Cohen rêve de devenir chanteuse. Sa voix est incroyable, sa personnalité aussi excentrique qu’attachante, son besoin d’amour inextinguible. À l’aube des années 1960, elle quitte Baltimore pour échapper à son avenir de vendeuse de pastrami et tenter sa chance à New York.

  • Wabi Sabi, un voyage au Japon de Amaia Arrazola :

Le wabi sabi est un concept japonais qui fait référence à la beauté de ce qui est imparfait et non conventionnel. La philosophie WABI SABI consiste à profiter du moment présent et à trouver la paix et l’harmonie dans la nature et les petites choses.
J’ai voyagé à Tokyo un jour d’hiver. Je suis restée là-bas un mois. J’y suis allée avec l’intention de faire un dessin par jour, de créer un journal visuel dans lequel il y aurait autant de place pour la nourriture, la ville et le caractère des gens que pour mes angoisses et mes doutes.
À partir de ce projet, intitulé « Amaia Was Here », j’ai créé ce livre imparfait et non conventionnel dans lequel il y a beaucoup de moi et, j’espère, un peu de toi aussi.

  • Le printemps suivant de Margaux Motin :

Après une vie de mère célibataire un peu chaotique mais libre et indépendante, Margaux replonge à pieds joints dans la vie de couple. Mais cela ne se passe pas sans heurts et des perturbations se profilent à l’horizon. Et si c’était l’occasion de chercher à comprendre ce qui provoque ces nuages qui viennent de si loin ? Sept ans après La Tectonique des plaques, Margaux Motin reprend avec humour et émotion le fil du récit de son parcours de femme moderne toujours en quête d’épanouissement personnel et de connaissance de soi.

Et vous les filles, quelles ont été vos lectures de l’année dernière ? Vous connaissez certains de ces livres ? Dites-nous tout en commentaire !!


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