Ce mardi, c'est Mardi gras ! Autrefois, et il n'y a pas si longtemps que cela, avant la dernière guerre, c'était un moment très festif dans toute la France, et en particulier à Paris... et cela depuis des temps très reculés. Du reste, dans l'Ancien Régime, les jours de fêtes étaient pléthore (voir ici), et en plus tout était prétexte à en créer de nouveaux ! De nos jours, c'est tout à fait le contraire. Dernièrement, lors d'une de mes lectures, j'ai noté (sans prendre la référence que je n'ai pas retrouvée) cette phrase : " Sans un sentiment de joie et de magie, on finit par se heurter de front contre les hauts murs de la démence. " Cela me semble juste.
Les fêtes avaient un rôle 'protecteur', et plusieurs ont été instituées suite à une catastrophe. Par exemple, le théâtre romain est né afin de conjurer une épidémie de peste (voir ici).
De nos jours, on ne pense qu'à réprimer. On marche sur la tête, et la crise orchestrée autour du coronavirus en est un exemple. Face à ce qui s'apparentait à un genre de grippe, on a voulu que cela soit grave et fait en sorte que cela le devienne au niveau humain, social.... et même sanitaire en interdisant certaines médications, en créant des mutations par le remdesivir, etc. Cela a été, et continue de l'être au moment où j'écris ces lignes, franchement monstrueux de voir les gens avec leur masque, les slogans partout incitant à se fuir les uns les autres, les mensonges, les lâchetés de toutes sortes, le mesures liberticides, etc. On est dans le domaine du monstrueux... de la folie... non pas une folie cathartique, permettant de se défouler, comme dans le carnaval, mais dans la folie pure... vraiment.