Tu ne vois pas que tu as fait tomber un journal ? Si, certainement, mais comme tu es trop flemmard pour le ramasser, tu fais comme si… En réalité tu attends que je le fasse. Et bien non. Je veux voir si, quand tu te lèveras tu préféreras marcher dessus ou si tu daigneras te baisser. Franchement je n’ouvrirais pas de paris. Il faudrait peut-être aussi que je ramasse le coussin que ru as fait glisser, et dans la salle de bain la bouteille d’after-shave que tu as terminée, et que j’aille chercher le pain que tu es chargé de prendre et pourquoi pas que je t’essuie après ta douche. Je suppose que tu es né avec les côtes en long...