J'écoutais le timbre attentif du saxophone de Daniel Carter au début du printemps. Interrogé et soutenu par la basse de Maxime Petit, l'américain (qui se partage, depuis le début des 70's, entre free jazz pur jus, collaborations alt-rock, ou climats urbains accrocheurs et décalés), me soufllait dans un saxophone alto tourné vers l'océan pacifique au creux des années 50, ou dans une clarinette volatile échappée du MET, et passer de [...]