Puisqu'il y a des chansons pour tout, c’est trois chansons qui accompagneront les tableaux de cette exposition de peinture qui s’achève le 17 octobre 2021, à la Galerie Grand Monde, Cour Damoye, 12, place de la Bastille ou 14, rue Daval, à Paris.
Ce n’est pas des temps de confinement que nous avons connus que nous trouverons trace dans les oeuvres. Encore que Doune Tissot en a profité pour observer les poires et découvrir la ligne courbe, Jean-Marc Papadacci pour, peut-être, dans des cases ranger des livres, d’autres objets ou contempler les immeubles depuis sa fenêtre, et Christian Minas pour rêver de mouvements, de voyages et d’océan.
Mais revenons aux chansons.
C’est avec Juliette que nous commencerons, pour les petites toiles de Doune Tissot :
Passe-Crassane, Louise-Bonne, Duchesse d’Angoulême
Faire du choix d’une poire un délicieux dilemme
Pour Jean-Marc Papadacci, c’est Anne Sylvestre qu’on invite :
J'ai une maison
Pleine de fenêtres
Pleine de fenêtres
En large et en long
Et des portes aussi
Faut le reconnaître
Et des portes aussi
Il faut bien sortir
Et avec Christian Minas, on ne peut que chanter cet air de Charles Trenet :
La mer
qu’on voit danser
le long des golfes clairs
a des reflets d’argent
La mer
des reflets mouvants
Une exposition de gravures de ces trois artistes avait été présentée ici.