Je ne me rappelle plus trop quand j'ai découvert le concept du pain à effeuiller (ou pull apart bread comme disent les anglo-saxons), mais j'avais tout de suite été assez séduite ! Il faut dire que j'ai toujours aimé manger avec les doigts... Mais les mois, les années ont passés et je n'ai pas trouvé l'occasion de tester : j'attendais toujours LA bonne occasion pour me lancer parce que c'est le genre de chose qui est plus agréable à partager qu'à s'enfiler toute seule (quoique). Et puis, c'est en voyant le pot de pestofu* commencer à s'ennuyer dans mon frigo que je me suis dit que cela pouvait être le bon moment pour se lancer. Ni une ni deux, j'étais partie... tellement bien partie, que j'ai oublié de faire des photos ! Il fallait donc que je réitère l'expérience pour la partager avec vous. Et là, manque de chance (ou d'attention plutôt), j'ai eu un problème de cuisson avec cette seconde version, et du coup il n'est clairement pas aussi présentable que son confrère... Mais bon, comme je n'allais pas le refaire une troisième fois (mon dévouement à ses limites, et mon estomac aussi !), j'ai essayé de tirer partie de ce que j'avais pour vous pondre des photos à peu près potables. Soyez donc averti.e.s : il n'est pas sensé être aussi bronzé !
J'avais emporté le second essai pour égayer les apéros lors de mon week-end de rando à la montagne avec des ami.e.s, et il a été unanimement apprécié, malgré son léger coup de chaud. Nous l'avons mangé une première fois froid. Les restes ont ensuite été passés au four pour un second round, et c'était encore meilleur !!
Pour 1 pain : - 500 g de farine
- 1 sachet de levure de boulanger sèche (2 c. à c.)
- 1 belle c. à c. de sel
- 1 c. à s. d'huile d'olive
- env. 30 cl d'eau tiède
- 1 pot de pestofu* Sojami (ou 100 g de pesto + 50 g de yaourt de soja)
Variante : On peut bien sûr utiliser un autre pesto, par exemple un pesto de fanes, ou encore un pesto rosso.
