d’après Todd McFarlane.
Scénarisée par Steve Niles à qui l’on doit notamment 30 Days of Nights et The October Faction (adapté en série sur Netflix), mise en images cauchemardesques par Ashley Wood, mêlant peinture à l’huile et créations numériques, tout comme Bill Sienkiewicz, et par le trait nerveux de Ben Templesmith, l’intégrale du Hellspawn ne s’adresse pas aux néophytes. Il faut connaître l’univers du Spawn, ses personnages, sa génèse pour pouvoir suivre l’histoire.
Si visuellement c’est une vraie claque de noirceur, le scénario est passablement dilué pour tenir le temps des 400 pages du roman graphique et tourne court dans le final.
Quel dommage !