Tu as lu la rosée au bord de mes cils
tes bras presque trop grands
pour contenir mon chagrin
jusqu’à l’ensoleillée
d’un sourire partagé.
Errance sur des sentiers parallèles
et peu à peu le toi au moi s’est noué
voilà ce nous en vive saison
qui fleurit comme l’aubépine
en rose qui dure.