Eugenio Maria Giuseppe Giovanni Pacelli. mieux connu sous le nom de pape Pie XII, qui a régné (qui, araignée:) au sommet de l'Église catholique entre le 2 mars 1939 jusqu'à sa mort en 1958 a un jour dit lucidement: "Ceux qui contrôlent l'argent et le crédit contrôlent nos vies". Vérité de la Palice.
Ceci a été saisi par certains qui ont Dieu à la souche comme un avertissement que Satan pouvait prendre le contrôle de nos vies. Quand il y a Dieu, il y Satan, tout juste à côté. Voilà une des raisons pour laquelle il faille faire "delete" quand vient le temps de faire une place à la religion dans nos vies. Nos vies sont beaucoup plus grises que ce noir et blanc. Certains, les plus sages, le comprennent. Pas tous.

Si je fais un parallèle avec notre époque c'est qu'encore une centaine de ces gens, des dits Bêrets Blancs, vivent encore au Québec, et souhaitent le retour du contrôle des écoles par les églises. Des phrase vides comme "privés d'une mère aimante, ils ne peuvent plus se tourner vers l'école" sont entendus de leur part.


"L'argent n'a pas détruit que la famille, c'est la société toute entière qui est sous son joug. Les banques sont d'ailleurs la représentation matérielles des forces du mal...."
Comme ce prêt pour l'achat d'une maison. Maudites soient les banques qui nous permettent d'acheter une maison!
"C'est une dictature..."
(...)


Le Québec a déclaré ce mouvement, secte. Puisque confirmé intégriste religieux. Ils sont aussi drôles que dangereux.
Là dessus, ils se rapprochent beaucoup, beaucoup, beaucoup, de tous ceux et celles qui se sentent attirés par le Parti Conservateur du Québec d'Eric Duhaime. Pas surprenant que la présentation de chacun des ses candidat(e)s, tourne souvent au cirque. Ils s'expriment relativement mal, disent des choses étonnamment insensées, répètent des mensonges, déjà démystifiés, ils font rire d'eux, malgré eux. Ils sont aussi dangereux. Parce qu'ils croient leurs mensonges. Et désinforment largement.

Bérets ou PCQ et supporteurs du parti (ou républicains, aux États-Unis), ont en commun d'avoir une très grande aversion des médias qu'ils considèrent à la solde d'intérêts financiers contre lesquels ils ne peuvent jamais se retourner. Ce qui est parfois vrai, mais toujours si facile à identifier. Sophie Durocher peut écrire une chronique entière où on comprendra qu'à la source, ce qui la motivait à écrire ce qu'on lit, est la jalousie de voir Québecor (son employeur) ne pas avoir été aussi futé qu'un autre journal rival pour un scoop. Dans Le Devoir ou La Presse, même chose, on souligne facilement les inclinaisons des chroniqueurs si on a un minimum de jugement.

Les candidats du parti d'Eric Duhaime sont étonnants de stupéfaction parfois. De vrais bérets.

Duhaime et ses semblables doivent être ridiculement inexistants dans les votes.
Inexistants socialement. Un point d'exclamation dans le paragraphe de notre contrat social, sans plus.
Poussières sous le tapis.
Autant que les Béret Blancs.
