Nous sommes attirés par les oiseaux, leurs chants, leurs vols : les pluriels s’imposent, car il y a une grande diversité. On admire les chants, parfois ils nous insupportent : on leur prête des intentions qu’ils n’ont sans doute pas. On admire leurs vols, leur connaissance des airs, des espaces, des saisons. Marielle Macé, dans ce livre, citant Vinciane Despret, Jean-Chirstophe Bailly, Francis Ponge, Jacques Roubaud, Fabienne Raphoz et d’autres, montre l’importance du chant des oiseaux dans l’art de la poésie, des rimes, l’influence du vol dans l’idée d’élévation.
Je ne lirai pas ce livre en une seule fois. J’y reviendrai donc plus tard, au fur et à mesure de ma lecture.