Au Japon, de 518000 licenciés en 1975 le nombre de chasseurs a plongé à 200 000 ces dernières années”. Dans le même temps, certaines régions de l’archipel sont confrontées à “l’explosion des populations d’herbivores voraces et d’omnivores comme les cerfs, les sangliers, les macaques et les ours”. Au point, relate le Japan Times, que “les confrontations physiques ont fait des blessés et même des morts chez les humains”, et que les dommages causés par ces animaux sauvages sur l’agriculture ont été estimés “à 112 millions d’euros ces dernières années dans l’ensemble du pays.
Trop d’animaux sauvages, et trop peu de chasseurs pour en réguler les populations, notamment en raison d’une législation sur la possession d’arme à feu très restrictive.
Face à ce double problème, à Fukuchiyama, où les dommages “causés par les animaux sauvages aux cultures céréalières et aux vergers ont augmenté de 30 % l’an dernier”, on a innové.
Désormais, on chasse avec des drones.
Du coup les japonais, experts en robots pour assister les personnes, par exemple les vieux dans les EHPAD ou des robots qui trient, lavent et plient le linge, ont pensé à aider les chasseurs et les paysans. Ils les assistent avec des loups artificiels ou de chiens volants aboyeur (les drones) aux cris divers et parait-il effrayants.
Le petit ourson a eu peur !