Olivia, l’épouse de George Harrison, a déclaré qu’il avait affronté de nombreux combats avec “un courage spirituel et une conviction inébranlable”.

Olivia, la femme de George Harrison, a déclaré qu’il avait affronté de nombreuses batailles avec “un courage spirituel et une conviction inébranlable”. L’une de ses premières batailles a eu lieu lors de sa tournée Dark Horse en 1974.

George Harrison a dû faire face à des combats spirituels lors de sa tournée “Dark Horse”.

L’ancien Beatle s’est lancé dans sa tournée Dark Horse après un voyage de rajeunissement en Inde au début de 1974. Il sentait soudain qu’il pouvait le faire. De plus, il veut montrer au public qu’il est bon d’être spirituel et de découvrir d’autres genres de musique. L’industrie de la musique est devenue désordonnée, et il pense avoir une idée originale pour un spectacle.

Cependant, la tournée Dark Horse de George était vouée à l’échec dès le départ. George n’avait aucune idée que son idée lui apporterait l’une de ses plus grandes batailles. Il s’aliène involontairement le public en commençant chaque spectacle par une longue performance de son gourou musical, Ravi Shankar, et d’autres musiciens indiens. Cela laissait les fans “bâillants et agités”, selon Joshua M. Greene dans Here Comes The Sun : The Spiritual And Musical Journey Of George Harrison.

Greene écrit : ” Il est apparu comme trop zélé, aliénant une grande partie de son public. ” George s’est encore aliéné le public lors de sa tournée Dark Horse en ne jouant pas de chansons des Beatles. Il serait hypocrite s’il le faisait. Cette partie de sa vie était terminée. George voulait montrer aux fans un chemin spirituel, pas revisiter le passé. Finalement, George joue ses chansons des Beatles, mais continue de mettre les fans en colère en changeant les paroles pour refléter sa spiritualité.

George se moque de savoir si les gens l’aiment tant qu’il reste fidèle à lui-même. Greene écrit : “Il se souvient d’une citation du Mahatma Gandhi : nous devons créer et préserver l’image de notre choix. L’image de mon choix n’est pas celle du Beatle George, pensait-il. Ma vie appartient à Dieu. C’est ce que je ressens.

“Il était ici dans le monde pour faire du bien spirituellement, et jouer les vieux tubes lui aurait semblé hypocrite. Comment pouvait-il vivre avec lui-même s’il renforçait l’attachement matériel des gens à des images et des airs nostalgiques ? Mais était-ce mieux ainsi – de mauvaises critiques et des montagnes d’ordures ?”

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