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40e Festival des migrations / CLAE / Luxexpo The Box

Publié le 27 février 2023 par Paulo Lobo
40e Festival des migrations / CLAE / Luxexpo The Box
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40e Festival des migrations / CLAE / Luxexpo The Box
Pourquoi est-ce que j’aime le Festival des migrations ? 
Parce que pendant un week-end, je me sens bien, j’ai l’impression d’être à ma place dans une communauté mondiale d’êtres et de cœurs. C’est une mosaïque d’expressions, de couleurs, de sourires, d’énergies, de sons, d’images. Pour un photographe, c’est le bonheur absolu. Je vais, je viens, je regarde, je rencontre, je bavarde, j’écoute, je donne, je reçois. Je n’ai pas d’autre obligation que d’exister et de respirer. Ici et là, on pose pour moi, on se fige et on attend le clic de l’appareil. Mais souvent, je déclenche à la sauvette, en mode spontané, ce sont les meilleurs portraits. Une fois sur deux, j’échange quelques mots avec la personne prise en photo.
Tout ça arrive très naturellement, sans me forcer.
Que c’est beau, une humanité plurielle, quand tout le monde vit et cohabite en paix.
Est-ce une illusion, est-ce trop demander que d’espérer que la planète entière ressemble à ce grand souk bigarré et bruyant qui nous fait faire le tour du monde en 48 heures ?
Je n’ai que faire des dogmes politiques qui divisent et érigent des frontières. Je n’ai que faire des dirigeants qui sèment la haine et la rancœur. Je n’ai que faire de ceux qui collent des étiquettes au front des individus. Je n’ai que faire de ceux qui attisent le feu et le sang.
Mettez un être en face de moi, et laissez-nous parler.  Why do I like the Festival of Migrations?
Because, for a weekend, I feel good, I feel like I belong in a global community of beings and hearts. It is a mosaic of expressions, colors, smiles, energies, sounds, images. For a photographer, it is absolute happiness. I walk around, up and download, I look, I meet, I chat, I listen, I give, I receive. I have no other obligation than to exist and to breathe. Here and there, people pose for me, they freeze and wait for the click of the camera. But often, I shoot on the fly, in spontaneous mode, these are the best portraits. Every other time, I exchange a few words with the person in the picture.
It all happens very naturally, without forcing me.
How beautiful it is, a plural humanity, when everyone lives and cohabits in peace.
Is it an illusion, is it too much to hope that the whole planet looks like this big, colourful and noisy souk that makes us go around the world in 48 hours?
I don't care about political dogmas that divide and erect borders. I don't care about leaders who sow hatred and resentment. I don't care about those who put labels on people's foreheads. I don't care about those who stir up fire and blood.
Put someone in front of me and let us talk.

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