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On a visité l'exposition "Incarnations" au Mac de Lyon : le corps dans tous ses états!!

Par Filou49 @blog_bazart
jeudi 09 mars

Samedi dernier, on a eu la chance de bénéficier d'une visite commentée des nouvelles expositions du Mac d'Art Contemporain de Lyon "Incarnations ". Cette exposition inaugure une série d’expositions et de manifestations prévues tout au long de l’année 2023 et s’intéressant à la présence du corps dans les œuvres de la collection du macLYON.

 Description de l'exposition Incarnations

Du 24 février au 9 juillet 2023, trois expositions sont toutes centrées autour de la thématique du corps :

• Au 1er étage, l'exposition Incarnations, le Corps dans la collection - acte 1 explore à travers une sélection d'œuvres de la collection du macLYON, les différentes approches que les artistes ont développées ces 40 dernières années.

• Au 2e étage, La peau est une fine enveloppe par Nathalie Djurberg et Hans Berg, un univers animé qui se déploie en films d'animation et installations qui jouent des fantasmes, des obsessions et des peurs dans une esthétique volontairement outrée et "primitive", plongeant avec un humour noir dans le subconscient et la part sombre présente en chacun·e de nous.
• Au 3e étage, un film inédit de Jesper Just est produit spécialement pour l'exposition, mettant en scène la topographie émotionnelle de l'acteur Matt Dillon, capturée par une machine IRM lors d'un monologue.

Notre avis

Peintures, sculptures, photos, vidéos, animation au MAC en cette fin d'hiver et ce printemps, le corps s'expose dans tous ces états.

Réalité surréaliste dans les œuvres et autres performances d'artiste pour découvrir le corps et ses fonctions, respirer, avaler, expulser et même penser.

D'un étage à l'autre, le promeneur baguenaude tous les sens en éveil, images et sons mêlés dans des espaces étonnants d'une lumineuse noirceur ou d'une obscure clarté.

Etes-vous prêts  pour une future visite à l'intérieur de vous même...et dans le cerveau de Matt Dillon ? 

Pour notre part, on a trouvé que la visite était  une ballade en tous points réussie et pas du tout trash, et ce, malgré une salle interdite au moins de 13 ans qui n'a rien de très choquante.

Incar­na­tions. Le corps dans la collec­tion. Jesper Just. Inter­fears. Jusqu’au 9 juillet au Musée d’art contem­po­rain de Lyon, Cité Inter­na­tio­nale, Lyon 6e. Du mercredi au dimanche de 11h à 18h. De 6 à 9 €.


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